Anne Pingeot, la mère de Mazarine, a passé trente-cinq ans au côté de François Mitterrand.
Qui a révélé l’existence de Mazarine ?
Mazarine et Anne Pingeot lors des funérailles de François Mitterrand
C’est dans une clinique à Avignon que Mazarine voit le jour le 18 décembre 1974. En 1984, François Mitterrand la reconnaît. Et c’est dix ans plus tard que les Français font connaissance avec sa fille cachée, dans les colonnes de « Paris Match », qui révèle l’existence de la fille naturelle du Président. En janvier 1996, la jeune femme de 22 ans assiste avec sa mère à l’enterrement de François Mitterrand à Jarnac. En 2005, celle qui est devenue journaliste publie « Bouche cousue », où elle revient sur ses souvenirs d’enfance.
Qui est Jean balenci ?
– Nous sommes tous des Africains –
Fraternelle, tolérante, bienveillante, mais rigoureuse ! / [email protected] / Après la disparition des dinosaures, voici l’encyclopédie biographique, contemporaine et filiative de l’Homo erectus.
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Listes alphabétiques des personnalités présentes sur Wikifrat Les six pouvoirs :
Qui occupe actuellement le château de Souzy-la-briche ?
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.
Le château et domaine de Souzy-la Briche est une résidence de villégiature de la République française. Elle est située dans la commune française de Souzy-la-Briche, dans le département de l’Essonne et la région Île-de-France. Anciennement affecté au président de la République, il est mis en 2007 à l’usage du Premier ministre français.
Le domaine est situé en bordure du village de Souzy-la-Briche avec une entrée principale entre la Grande rue et la rue des Roches. Ce village se situe dans la région du Hurepoix, à 39 km au sud-ouest de Paris, entre Étampes et Arpajon.
C’est la plus récente résidence présidentielle puisqu’elle a été léguée en héritage en 1972 par le banquier Jean-Jacques Simon et sa femme Renée à l’usage du Premier ministre, à charge pour l’État d’entretenir leurs sépultures et d’affecter le lieu « à la plus haute autorité de l’exécutif »[1].
Initialement, les époux Simon souhaitaient que la demeure soit attribuée au Premier ministre ; de nouvelles dispositions testamentaires en 1972, acceptées par l’État en 1974, indiquent que la demeure doit être affectée au président de la République.
Château de Souzy-la-Briche | |
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Propriétaire actuel | République française |
Destination actuelle | Résidence secondaire du Premier ministre français |
Coordonnées | 48° 31′ 38″ nord, 2° 08′ 49″ est |
Pays | France |
Où est enterré Jean-edern Hallier ?
« Essais Doc », (1) 2005, 132 p. (ISBN 978-2-226-15996-0 et 2226159967).
- ↑ Un bâtiment partiellement du XIIIe siècle, dit château de La Boissière (48° 05′ 34′′ N, 3° 59′ 23′′ O ), acquis et profondément transformé au XIXe siècle par le grand-père de Jean-Edern Hallier, le général Henri Hallier (1866-1956). Cf. [1].
- ↑ Jean-Claude Lamy, Jean-Edern Hallier, l’idiot insaisissable, Albin Michel, 11/01/2017
- ↑ a b et c Jean-Claude Lamy, Jean-Edern Hallier, l’idiot insaisissable, Paris, Albin Michel, 2016.
- ↑ Jean-René Huguenin, Journal (1955-1962), préfacé par François Mauriac, Paris, Le Seuil, 1964.
- ↑ a et b Antoine de Gaudemar, « Les numéros de Tel Quel », Libération, 6 avril 1995 (lire en ligne [archive du 17 août 2013] )
- ↑ a et b , Who’s Who in France, Édition 1996-1997 ; Jean-Pierre Thiollet, Carré d’Art : Byron, Barbey d’Aurevilly, Dali, Hallier, Anagramme éditions, 2008, p. 218.
- ↑ Article paru dans France-Observateur en 1963, repris, modifié, dans J.-E. Hallier, Chaque matin que se lève est une leçon de courage, Paris, Albin Michel, 1978.
- ↑ cf. « J’accuse », Le Monde, 5 mai 1971.
- ↑ En ouverture du livre, une « note de l’éditeur » précise : « Les Éditions Libres-Hallier ne soutiennent évidemment pas les idées de la Nouvelle Droite, dont l’un des hérauts, Alain de Benoist, s’exprime ici. Les Éditions Libres-Hallier sont d’abord libres. Un débat est ouvert. Il serait suicidaire pour la gauche — ancienne ou nouvelle — de ne pas l’affronter en connaissance de cause. C’est la raison de la publication de ce livre. » Au sujet des rapports entre Alain de Benoist et Jean-Edern Hallier, cf. « Sur Jean-Edern Hallier et l’« Idiot international » ».
- ↑ La Cause des Peuples.
Pourquoi rue Mazarine ?
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.
La rue Mazarine est une voie située dans le quartier de la Monnaie du 6e arrondissement de Paris.
La rue Mazarine est desservie par les lignes et à la station Odéon, ainsi que par les lignes de bus RATP 24 27 58 86 87.
Son nom vient du voisinage du collège des Quatre-Nations, aujourd’hui Institut de France, fondé par Jules Mazarin.
Cette voie est tracée sur l’emplacement du chemin de contrescarpe de l’enceinte de Philippe Auguste. C’est l’ancienne rue des Fossés-de-Nesle, longeant à l’extérieur l’enceinte de Philippe Auguste[1].
Elle est citée sous le nom de « rue de Nesle » dans un manuscrit de 1636.
- No 19 : demeure du poète Robert Desnos, résistant déporté en 1944, mort du typhus au camp de Terezín en 1945 ; une plaque lui rend hommage. Le rez-de-chaussée fut longtemps occupé par le café Le Rubens, dans l’arrière-salle duquel travaillait et recevait l’écrivain Antoine Blondin[4].
- No 20 : demeure du député girondin Charles Barbaroux, leader du bataillon des Marseillais. Il « inspira » Charlotte Corday et fut guillotiné à Bordeaux. Une plaque lui rend hommage. En 1885, le peintre marseillais Raymond Allègre (1857-1933), demeurait à cette adresse[5].
- No 27 : vestiges de l’enceinte de Philippe Auguste dans un parking souterrain.
Qui a été le compagnon de Danielle Mitterrand ?
Elle a bravé l’interdit. Dans les années 1960, alors que François Mitterrand flirtait déjà avec les plus hautes sphères, lieu de résidence estivale de François et Danielle Mitterrand (disparue il y a onze ans, en ce mardi 22 novembre, ndlr). Rapidement, celui qui était alors Premier secrétaire du Parti socialiste s’est rendu compte des regards langoureux de sa femme lancés à cet homme, qui occupait une place de choix au sein de la famille mais aussi dans la vie du couple politique. » La famille et les proches voient apparaître un beau brun, pas très grand mais athlétique, épaules larges, ventre plat, muscles saillants, sourire sympathique « , racontait Robert Schneider dans son livre Premières Dames, publié en 2014.
En plus de son physique attrayant, l’homme a un pedigree impressionnant : « Il est professeur de gymnastique, membre organisateur du CLAN, le Club des Loisirs Alpins et Nautiques. L’hiver, il est moniteur de ski », a écrit l’auteur. Alors, Danielle Mitterrand est vite tombée sous le charme de cet homme, un fameux « Jean », régulièrement invité à la table de la famille.