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Qui sont Natacha et Paul Gainsbourg ?

by Marine Lamiaux

Il y a pourtant deux personnes très discrètes dans la tribu, qui évoluent loin des plateaux de tournage et des studios d’enregistrement : ce sont le frère et la soeur de Charlotte et Lucien « Lulu » Gainsbourg : Natacha et Paul. Les deux aînés de Serge Gainsbourg sont nés en 1964 et 1967.

Qui sont les héritiers de Serge Gainsbourg ?

« Je dormais chez eux et je les réveillais tôt. J’étais toujours dans les jambes de Lulu. Il m’a initié aux échecs, aux jeux vidéo. » Comme le grand frère qu’il n’a jamais eu. Entre Paris et New York, les deux familles se sont souvent croisées. Mais aujourd’hui, l’oncle et le neveu sont tous les deux en Angleterre. Lulu Gainsbourg y poursuit sa carrière de musicien (il sort l’album « T’es qui là ») tandis que Ben Attal, qui a suivi sa petite amie outre-Manche, apprend le métier de chef. Mais le jeune homme, bercé dans l’univers du cinéma depuis sa naissance, confie : « Quand je rentrerai en France, je ferai peut-être une école de comédien. Mon père voudrait me faire tourner dans un de ses films… » L’un se passionne pour la musique, l’autre pour le cinéma. Ben Attal avoue n’avoir jamais écouté la musique de sa mère Charlotte Gainsbourg. Quant à son illustre grand-père, il dit simplement : « Il aurait pu être un merveilleux pote, mais ce n’est pas quelqu’un de réel pour moi.

Quelle était la maladie de Serge Gainsbourg ?

Lorsque Serge Gainsbourg rendait son dernier souffle des suites d’une crise cardiaque le 2 mars 1991, sa fille n’était âgée que de 19 ans. Elle était encore plus jeune lorsqu’elle a eu pour lourde tâche de confier à sa mère, Jane Birkin, que le mythique dandy était atteint d’un cancer. Mort il y a trente ans, le chanteur a emmené Charlotte Gainsbourg pour quelques jours de repos sur l’île paradisiaque de la Barbade, dans les Caraïbes. Un jour, au début des années 1990, l’homme à la tête de chou ne se sent pas bien : sur les conseils de sa mère, Charlotte appelle un médecin.

La suite, c’est Jane Birkin qui la raconte dans le second tome de son journal intime Post-Scriptum, paru le 23 octobre 2019 aux éditions Fayard.« Je lui ai dit, appelle le docteur, antibiotiques, et dans une semaine plus rien. »Quelques heures plus tard, un message de Charlotte Gainsbourg l’arrache à ses illusions. « Le docteur il a dit que Papa a le cancer », lui a annoncé sa fille. « Pauvre Charlotte, affolée, qui tombe des nues. Maintenant, elle va avoir peur comme moi. »

Pourquoi Birkin quitté Gainsbourg ?

Au cours de sa vie, Jane Birkin a connu plusieurs hommes dans sa vie. Mais, son histoire d’amour la plus marquante a été celle avec Serge Gainsbourg. Pendant plus de dix ans, les deux stars ont formé l’un des couples les plus emblématiques de l’époque. Ensemble, ils ont eu une fille prénommée Charlotte, née le 21 juillet 1971. Jane Birkin avait rencontré le chanteur en 1968, sur le tournage du film Slogan. Si les deux amoureux ont vécu une belle histoire d’amour, la chanteuse avait décidé de rompre au début des années 80 en raison du mode de vie du chanteur. En alcool, agressivité et disputes quotidiennes, le couple n’a pas pu résister dans le temps.

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“C’est plus difficile de quitter”

En septembre 2022, Jane Birkin s’était d’ailleurs confiée sur les raisons de sa rupture avec Serge Gainsbourg, à travers un documentaire intitulé Jane Birkin et nous, diffusé sur France 3. “J’ai coupé les ficelles”, avait-elle commencé. Avant d’expliquer : “Il arrive un moment, peut-être, où on recherche une autre liberté. Ou plutôt, l’autre personne ne veut pas que tu changes, et les situations non plus.” Même si elle avait fait le choix de quitter Serge Gainsbourg, cela n’a pas été une tâche facile pour Jane Birkin qui a rapidement ressenti de la culpabilité.

Qui est la mère de Paul Gainsbourg ?

Serge Gainsbourg est sans doute la star du cimetière du Montparnasse. Enterré avec ses parents au niveau de la 1ère division, « l’homme à la tête de chou » reçoit toujours les hommages de très nombreux fans qui viennent déposer des tickets de métro, des mégots de cigarette, des fleurs ou encore des dessins.

Quels ont été les épouses de Serge Gainsbourg ?

Le 16 juillet, Jane Birkin, une icône française et anglaise, est décédée à l’âge de 76 ans. Ses filles, Charlotte Gainsbourg et Lou Doillon, vont donc hériter d’un patrimoine considérable. Cet article explore l’héritage financier et émotionnel que l’icône a laissé à ses deux filles.

Jane Birkin : un patrimoine immobilier diversifié

Jane Birkin a accumulé un patrimoine substantiel tout au long de sa vie. Bien que les détails précis de cet héritage soient confidentiels, il est connu qu’elle possédait plusieurs propriétés. Notamment, une maison à Paris et une autre en Bretagne.

Selon le magazine AD, sa résidence parisienne se trouvait dans le 6ème arrondissement. En revanche, le manoir de Prat ar Coum se trouvait sur la rive nord de l’Aber. Pour rappel, ce dernier a été vendu. Néanmoins, ces propriétés constituent une part importante de l’héritage matériel laissé par Jane Birkin à ses filles.

Un héritage émotionnel précieux

Outre son patrimoine financier, Jane Birkin a également légué à ses filles un héritage émotionnel précieux.

Quelle était la religion de Serge Gainsbourg ?

  • ↑ Mikaïloff, « Gainsbourg Confidentiel », sur books.google.fr, 2016 (consulté le 29 avril 2016).
  • ↑ « Gainsbourg Serge (1928-1991) », sur universalis.fr (consulté le 28 avril 2016).
  • ↑ a b c et d « Serge Gainsbourg – Biographie, discographie et fiche artiste », sur musique.rfi.fr, 3 mars 2011 (consulté le 30 août 2021).
  • ↑ Jean-Baptiste Devouassoux, « Gainsbourg : « peintre, j’aurais fait une œuvre » », sur https://balises.bpi.fr/, 4 octobre 2016.
  • ↑ « Un admirateur de Francis Picabia : Serge Gainsbourg », sur France Culture (consulté le 11 novembre 2021)
  • ↑ « Serge Gainsbourg raconté par Lise, sa première femme | Archive INA » (consulté le 29 juillet 2023)
  • ↑ « Le doc Stupéfiant La folle histoire des travestis », sur france.tv (consulté le 30 août 2021).
  • ↑ « Serge Gainsbourg Biography – life, family, parents, name, story, death, wife, school, young », sur www.notablebiographies.com (consulté le 18 octobre 2019).
  • ↑ Robert Belleret, Léo Ferré une vie d’artiste, p. 196, Actes SudGainsbourg, p. 132 à 134, Albin Michel.
  • ↑ VIDEOS. L’époque en chansons 7/8: « Le Poinçonneur des Lilas », Gilles Médioni, 14 août 2015, sur L’Express.
  • ↑ Sylvie SImmons, Serge Gainsbourg : a fistful of gitanes : requiem for a twister, Cambridge, MA, Da Capo Press, 2002 (ISBN 9780306811838), p. 28
  • ↑ « Serge Gainsbourg, le protégé de Boris Vian : vous le saviez ? – Boris Vian », sur www.borisvian.org (consulté le 8 mai 2022)
  • ↑ Sylvie SImmons, Serge Gainsbourg : a fistful of gitanes : requiem for a twister, Cambridge, MA, Da Capo Press, 2002 (ISBN 9780306811838), p. 30
  • ↑ « Le Super-45 tours « Romantique 60 » », sur Hommage à Serge Gainsbourg (1928-1991), 8 mai 2015 (consulté le 5 octobre 2020).
  • ↑ Bertrand Guyard, « Ne vous déplaise, Serge Gainsbourg a écrit La Javanaise pour Juliette Gréco » Accès libre, sur Le Figaro, 24 septembre 2020 (consulté le 24 janvier 2022)
  • ↑ a b et c Loïc Picaud et Gilles Verlant, L’intégrale Gainsbourg, Fetjaine, 2011 (lire en ligne).
  • ↑ « Serge Gainsbourg et Philippe Clay « L’accordéon » », sur ina.fr, 20 février 1964 (consulté le 30 août 2021).
  • ↑ « Serge Gainsbourg, Philippe Clay – L’assassinat de Franz Léhar (Inédit) » [vidéo], sur YouTube (consulté le 26 juillet 2020).
  • ↑ Gilles Verlant, Gainsbourg, Albin Michel, 2000 : p. 261-262.
  • ↑ « Serge Gainsbourg – Biographie, discographie et fiche artiste », sur RFI Musique, 3 mars 2011 (consulté le 15 avril 2022)
  • ↑ « France Gall et Serge Gainsbourg reçoivent le grand prix Eurovision de la chanson », sur ina.fr, 20 mars 1965 (consulté le 30 août 2021).
  • Pourquoi Serge Gainsbourg et Brigitte Bardot se sont séparés ?

    Les deux stars se sont aimées passionnément entre 1967 et 1968, alors que la relation entre Brigitte Bardot et son mari de l’époque Gunter Sachs se détériorait de jour en jour : « J’étais piégée entre un divorce annoncé avec Gunter et l’abandon de la plus belle déclaration d’amour qu’il m’ait été donné de faire à un homme, Serge Gainsbourg. »

    >>> Brigitte Bardot balance tout sur ses liaisons supposées avec Johnny Hallyday et Mick Jagger

    La relation entre les deux artistes avait d’ailleurs donné lieu à un fameux scandale puisque la première version de Je t’aime moi non plus, enregistré avec Bardot, avait été censurée. Dès la première diffusion radio de ce morceau plus que suggestif, Gunter Sachs menaça immédiatement Gainsbourg de poursuites en justice. Le titre sera finalement chanté par Jane Birkin et la rupture entre les amants terribles consommée. Aujourd’hui encore, Brigitte Bardot regrette amèrement la façon dont leur relation s’est finie : « J’ai perdu sur les deux tableaux. Quel déchirement ! »

    >>> Serge Gainsbourg : l’homme qui faisait chanter les femmes… et plus si affinités ! (VIDEOS)

    Qui chantait Boomerang en 1985 ?

    Par Marion Joseph

    Publié le 24/12/2010 à 12:11, Mis à jour le 24/12/2010 à 12:12

    Serge Gainsbourg en novembre 1985 à Paris.

    VIDÉO – Pour les vingt ans de la mort du chanteur, un coffret rétrospectif composé d’inédits verra le jour fin février 2011. Son interprétation du titre Comme un boomerang vient d’être dévoilée.

    Un avant-goût de l’album composé d’inédits de Serge Gainsbourg. En attendant sa sortie pour les 20 ans du décès du chanteur, le 2 mars 2011, une version inédite du titre Comme un boomerang vient d’être dévoilé sur Internet. Disponible en téléchargement sur la toile, cet enregistrement remonte à 1975.

    A l’époque, Serge Gainsbourg vient d’écrire Comme un boomerang pour la chanteuse Dani, qui doit représenter la France à l’Eurovision. Mais les paroles sont jugées trop radicales par le jury du concours. Dani n’ira donc pas. En revanche, le titre doit toujours sortir dans les bacs. C’est là que Gainsbourg entre en scène. Pour aider la chanteuse à enregistrer, il interprète alors sa propre version. «On était dans l’euphorie puisque la chanson était prévue pour l’Eurovision (…).

    Quelles cigarettes fumait Serge Gainsbourg ?

    Serge Gainsbourg en 6 clips à clopes

    VIDÉOS. Le grand fumeur de Gitanes a fait de la cigarette un élément esthétique de ses clips. Le chanteur aimait autant la nicotine que la beauté du geste.

    Par Mathilde Cesbron Serge Gainsbourg filmé chez lui dans son studio de la Cité internationale des arts pour l’émission « Central Variétés ». © Louis Joyeux / Ina/Louis Joyeux Publié le 02/03/2016 à 17h49

    Serge Gainsbourg fumait entre deux et cinq paquets par jour, et même davantage s’il était en studio en train de composer ou d’écrire. Il pouvait s’en griller jusqu’à 10 durant une interview lambda de 45 minutes. L’artiste ne passait jamais à la télévision sans sa clope, chose impensable à notre époque régie par la loi Évin. Quand on tape la recherche « Serge Gainsbourg » dans Google images, on tousserait presque à la vue des volutes de fumée qui émanent des clichés de l’artiste en noir et blanc. Et ses Gitanes conféraient à ses clips cette esthétique embrumée langoureuse si caractéristique.

    Dans une interview à Libération , Gainsbourg confiait être autant accro à la nicotine qu’à la beauté du geste.

    Quelle est la religion de Serge Gainsbourg ?

    […] Personne ne se doutait que Gainsbourg, même s’il ne s’est jamais caché d’être juif « Je suis né sous une bonne étoile… jaune », disait-il, aurait écrit une chanson si engagée pour le jeune État d’Israël à l’issue de la guerre des 6 jours et de la libération de Jérusalem… »[44]

    De son vivant, Gainsbourg a très peu parlé d’Israël, et parfois de façon contradictoire. Le 3 novembre 1982, lorsque Noël Simsolo invita Gainsbourg sur France Culture dans “Une journée avec Serge Gainsbourg” diffusée le même jour, ce dernier dit : « Me battre pour mes origines juives ? Pourquoi pas, mais je ne vois pas où… moi, je suis un ashkénaze, je ne suis pas un mec d’Israël. »[45] Pourtant, interviewé par Patrick Bouchitey en 1981 sur Carbone 14, il avait déclaré, à propos de cette chanson, avoir failli aller en Israël pour se faire tuer : « Tu serais vraiment allé te battre ? — Oui, si ça tournait mal… Non, pas me battre, me faire tuer ! Oui, d’instinct, de par mes racines. »[48]

    Brigitte Bardot en 1967, alors mariée avec Gunther Sachs, en Italie avant de se lier avec Gainsbourg.

    À la fin de 1967, il vit une passion, courte mais intense, avec Brigitte Bardot[49], à qui il dédie la chanson Initials B.B., après lui avoir écrit plusieurs titres emblématiques : Harley Davidson, Bonnie and Clyde, Je t’aime… moi non plus. L’enregistrement de ce dernier titre avec elle en décembre 1967, gardé secret par Serge Gainsbourg à la demande de Brigitte Bardot (qui était alors mariée à Gunter Sachs), ne sortira qu’en 1986, mais la chanson est rendue célèbre l’année suivante, réenregistrée en duo avec Jane Birkin[49].

    Le 2 janvier 1968, Serge publie le disque Bonnie & Clyde, réalisé en duo avec elle. Il contient quatre chansons issues du répertoire de Bardot, sept issues du répertoire de Serge, et un inédit chanté en duo qui est la chanson titre de l’album. Après la séparation, Serge publie l’album Initials B.B., qui comporte, en plus de quatre inédits (dont la chanson homonyme), le titre Bonnie & Clyde, et le contenu des 45 tours Qui est « in » qui est « out » et Comic Strip. Cet album aux sonorités pop résume parfaitement la période de l’artiste entre 1966 et 1968 et remplace Bonnie & Clyde, qui ne comportait qu’un seul inédit.

    Avec Jane Birkin en 1974, en Italie.

    Sur le tournage du film Slogan, de Pierre Grimblat, en 1968, il rencontre Jane Birkin, récemment séparée du compositeur John Barry dont elle vient d’avoir une fille, Kate Barry. Il lui fait chanter Je t’aime… moi non plus et 69 année érotique, devenus d’immenses succès[50]. Ils deviendront pendant dix ans un couple très médiatique, régulièrement à la une des médias, chacun enchaînant disques et tournages, concerts et apparitions photographiques[51].

    Quelles stars ne fument pas ?

    Vous essayez d’arrêter de fumer pour de bon ? Voici comment 9 stars ont finalement brisé leur dépendance à la nicotine.

    Fumer est encore aujourd’hui une habitude courante et cela est également vrai dans le monde du Show-biz et de la politique.

    En France une personne sur 3 âgée de 12 ans et plus fume même si c’est un fumeur occasionnel. Cela correspond en France à plus de 15 millions de fumeurs

    Même en prenant conscience des risques liés au tabac, arrêter de fumer peut être extrêmement difficile. Lorsqu’il s’agit d’arrêter de fumer, les célébrités connaissent les mêmes difficultés que tout le monde. Les célébrités suivantes ont non seulement trouvé des moyens d’arrêter de fumer, mais ont également réussi à rester éloignées du tabac pendant des années (et parfois des décennies). Regardez de plus près ce qui a finalement fonctionné pour elles et envisagez d’essayer leurs techniques d’arrêt.

    1 Le Prince Harry

    Le duc de Sussex a commencé à fumer à l’adolescence et a poursuivi cette habitude pendant des années, même si les sites de la maison royale, y compris Buckingham Palace, ont été déclarés zones non-fumeurs en 2016. Mais selon certains magazines de presse, le Prince Harry a arrêté de fumer à l’approche de son mariage avec la désormais duchesse Meghan Markle, une passionnée de yoga et de vie saine qui aurait eu une bonne influence sur son mari. Harry aurait travaillé avec la conseillère royale en nutrition pour améliorer son alimentation, perdre du poids et arrêter de fumer.

    2 Le président des Etats Unis Barack Obama

    Ayant commencé à fumer à l’adolescence, l’ancien Président Barack Obama a lutté pour arrêter pendant sa campagne de 2008 et les premières années de sa présidence.

    Quels sont les stars françaises qui fument ?

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    Source : TerraFemina – Octobre 2012

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    Journaliste

    “J’ai été baba cool, avec des sabots, un manteau afghan, un pull péruvien, du khôl sous les yeux et les cheveux teints au henné. … On peut dire qu’on en a fumé à 20 ans! »

    Source : 07/2009, émission “Tout sauf évident » de Philippe Vandel (France info)

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    Animatrice TV

    Il y a un échec complet de nos politiques en France, on interdit effectivement le cannabis, mais il y a de plus en plus de jeunes qui fument. Le légaliser, ça permettrait de contrôler ce que les jeunes fument –le produit lui-même–, et de faire des vraies campagnes de prévention”. Source : Thé ou café France2 – Juin 2016

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    Addictologue, ancien président de la Fédération Addiction

    « Un des paradoxes de notre société, c’est qu’on est beaucoup trop tolérant sur l’alcool et beaucoup trop sévère sur le cannabis. Dans toutes démarches de légalisation, il faut continuer à lutter contre les trafics et les têtes de réseaux. Les réseaux mafieux ne vont pas se laisser faire, ils vont chercher à développer d’autres marchés. » Source : France Culture – Juin 2019

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    Prdt de l’Agglo du Grand-Guéret, Conseiller Régional Nouvelle-Aquitaine

    « Je ne comprends pas pourquoi il est toujours permis, en France et ailleurs, d’avoir des médicaments dérivés d’opium, alors que c’est une drogue extrêmement dangereuse qui provoque 150 morts par jour aux Etats-Unis. Le cannabis n’a jamais tué personne. » Source : Street-Press – Octobre 2018

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    Comédien

    « Il y a de plus en plus de gens et de mômes qui fument de l’herbe et je pense que, sans tomber dans le péché mignon, la loi et le règlement à la française comme ça, il faut y réfléchir. Que pour les mineurs, il faut une réglementation mais une fois adulte qu’on nous laisse faire, qu’on nous laisse nous comporter comme des adultes. Je suis plutôt pour la légalisation moi ! »

    Source : ProgrammeTV.net – Juin 2019

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    Comédien

    Une gourmandise interdite… La marijuana. Même si j’en fume trois fois par an, ça me fait vraiment plaisir. Quand on s’enferme dans la routine, on a besoin de dérèglements.” Source : L’express – Février 2011

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    Pr. en médecine, Pneumologue

    « Je suis contre le cannabis comme je suis contre le tabac. Il ne faudrait pas en prendre du tout. Je ne suis pas davantage pour le cannabis vaporisé en tant que tel, mais cela permet de sortir de quelque chose d’encore plus dangereux, sachant qu’en France nous consommons la forme la plus toxique avec de la résine de cannabis et du tabac. Notre législation favorise le danger.

    Qui a eu l’idée de fumer du tabac ?

    La nicotine a été découverte en 1809 par un Normand, Louis Nicolas Vauquelin, professeur de chimie à l’École de médecine de Paris.

    Qui etait les maris de Jane Birkin ?

    Jane Birkin, décédée dimanche à l’âge de 76 ans, est connue pour son couple de légende avec Serge Gainsbourg mais elle a aussi épousé très jeune le compositeur John Barry. Retour sur les histoires d’amour qui ont marqué la vie de Jane Birkin.

    Le compositeur John Barry

    Jane Birkin a moins de 20 ans lorsqu’elle épouse le compositeur John Barry, de 13 ans son aîné. Pianiste et trompettiste de jazz, il a composé et arrangé la musique d’une centaine de films, dont plusieurs James Bond.

    De cette union, qui avait provoqué la colère de son père, naîtra une fille : la photographe Kate Barry, morte tragiquement en 2013. Elle le quitte deux ans après leur mariage, avec l’envie de vivre pleinement et d’entamer une carrière en France.

    « J’adore John, c’est pour ça que je trouve si difficile de lui dire qu’il est marié à une obsédée sexuelle.

    Pourquoi Brigitte Bardot a abandonné son fils ?

    « C’était difficile aussi pour elle d’avorter » – Avec Jacques Charrier, la jeune femme vit une relation faite de violence et de jalousie, comme le remarque Pascal Louvrier : « Il est très jaloux, il est violent avec elle. Cela se traduit par des coups. Quand elle était enceinte de Nicolas, il l’a frappée, elle est tombée, elle a heurté une table.

    Elle a eu un traumatisme crânien. » Une union violente qui conduit Brigitte Bardot à ne pas souhaiter donner naissance à son fils unique, Nicolas-Jacques Charrier : « C’était quelqu’un de très violent et ça explique pourquoi elle ne souhaitait pas d’enfant », indique le biographe. Lorsqu’elle tombe enceinte de l’acteur, elle désire alors interrompre sa grossesse.

    Une décision confrontée au refus de son mari et à l’interdiction de l’avortement en France dans les années 1960. « (Jacques) Charrier ne voulait pas qu’elle se fasse avorter. C’était difficile aussi pour elle d’avorter parce que c’était Bardot, alors tout de suite, on lui serait tombé dessus », révèle Pascal Louvrier.

    • Une déclaration complétée par les propos de Ginette Vincendeau : « Elle dit plus ou moins qu’elle était trop célèbre pour qu’un médecin se risque à faire cette intervention.
    • Il y a vraiment une pression familiale et de la société. » Ainsi, B.B.
    • Donne finalement naissance à son enfant sous la contrainte, le 11 janvier 1960.

    Un événement dont elle se souvient avec amertume dans ses mémoires Initiales BB, parues en 1996 : » Je suis devenue mère exactement quand il ne le fallait pas, Je l’ai vécu comme un drame. Ça a fait deux malheureux : mon fils et moi. » Et leur relation ne s’est malheureusement guère apaisée avec le temps.

    Pourquoi Brigitte Bardot n’a pas eu la garde de son fils ?

    Brigitte Bardot n’a jamais eu la fibre maternelle. L’actrice n’a même pas caché que la naissance de son fils unique ne l’avait jamais comblée de bonheur. Dans son autobiographie, Jean-Jacques Debout a témoigné de cette relation si particulière de la star avec son enfant.

    • De ses amours, Brigitte Bardot n’a eu qu’un enfant, Nicolas-Jacques.
    • Un fils né en 1960 de sa relation avec l’acteur Jacques Charrier qu’elle a épousé en 1959, avant de s’en séparer en 1963.
    • Maman d’un fils unique, l’icône du cinéma n’a pourtant jamais été comblée par cette maternité.
    • Elle a même toujours eu des mots très durs envers lui,

    » C’était comme une tumeur qui s’était nourrie de moi, que j’avais portée dans ma chair tuméfiée, n’attendant que le moment béni où l’on m’en débarrasserait enfin. Le cauchemar arrivé à son paroxysme, il fallait que j’assume à vie l’objet de mon malheur « , avait-elle confié au sujet de sa grossesse dans son autobiographie, en 1996.

    Plus de 25 ans plus tard, B.B.

     

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