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Sylvain Tesson Vie Amoureuse?

by Judith Ferrier

Il a vécu avec l’exploratrice Priscilla Telmon et avec l’écrivaine Bénédicte Martin.

Qui vit avec Sylvain Tesson ?

En 2011, il remporte le Prix Médicis Essai pour Dans les forêts de Sibérie, dans lequel il relate son séjour dans une cabane au bord du lac Baïkal pendant six mois. En 2014, il publie un nouveau recueil de nouvelles, S’abandonner à vivre, qui rencontre un certain succès.

En août 2014, quelques mois après le décès de sa mère, Sylvain Tesson est victime d’une chute du balcon d’une maison à Chamonix, qu’il venait d’escalader. Miraculé, il entame une longue convalescence mais garde des séquelles de l’accident. En 2015, l’aventurier décide de reprendre ses voyages et réalise un périple entre Moscou et Paris sur les traces de Napoléon et ses soldats (Berezina, 2015). Il poursuit également la réalisation de documentaires avec notamment; Octobre blanc (2017) et Les îles éparses (2018).

Le 10 octobre 2019, il publie un nouveau récit La panthère des neiges, qui rencontre un succès immédiat en librairie. Quelques semaines plus tard, le 4 novembre 2019, il décroche le prix Renaudot.

Côté vie privée, il a partagé le vie de l’écrivain Bénédicte Martin. Son père, Philippe Tesson, meurt le 2 février 2023 à l’âge de 94 ans.

Où vit Sylvain Tesson ?

Certes, il habite, à Paris, le très «rupin» Saint-Germain-des-Prés, mais l’adresse vaut profession de foi: rue des Quatre- Vents. Pour cet écrivain aventurier, dont le corps et le style ont été façonnés par les bourrasques de la steppe, on ne pouvait imaginer pied-à-terre plus approprié entre deux expéditions. Avec Sous l’étoile de la liberté, captivant récit d’une traversée de l’Eurasie sur les traces d’évadés du goulag, et un Petit Traité sur l’immensité du monde, plus impressionniste, Sylvain Tesson s’impose comme l’un de nos meilleurs écrivains voyageurs. Au sein de cette corporation, il se distingue par son vitalisme – capable d’affronter un désert armé seulement d’une gourde et d’une flûte! – un goût de la solitude et un regard à la croisée de la géographie et de la poésie. Rencontre dans son antre, battu par les quatre vents où un sac à dos à moitié déballé témoigne d’une récente escapade au Rajasthan…

Comment avez-vous contracté le virus du voyage? A 17 ans, avec un ami, nous sommes partis faire la traversée de l’Islande à vélo. Nous avons cumulé toutes les erreurs: j’étais en chaussures de ville, avec 50 kilos de paquetage, des réserves de nourriture pour quarante-cinq jours… Et pourtant j’ai adoré ça. Parallèlement, j’étais stégophile, c’est-à-dire que j’escaladais les toitures, essentiellement celles des cathédrales. J’ai passé des nuits entières sur des clochers ou des flèches, au sommet de Notre-Dame, de Saint-Germain-des-Prés et même du Mont-Saint-Michel. Tout cela m’a appris à randonner léger et by fair means, comme disent les Britanniques, soit uniquement à l’aide des mains et des pieds. J’ai affronté la Sibérie et le désert de Gobi avec un sac de 8 kilos seulement.

Quels sont les voyages de Sylvain Tesson ?

: Bréviaire de survie français-russe (Mots Et Cie, 2004)

  • L’Axe du loup. De la Sibérie à l’Inde, sur les pas des évadés du Goulag (Robert Laffont, 2004)
  • Les Jardins d’Allah (Phébus, 2004)
  • Les pendus (Le Cherche midi, 2004)
  • Nouvelles de l’Est (Phébus, 2002)
  • Carnets de steppes : A cheval à travers l’Asie Centrale (Glénat, 2002)
  • La chevauchée des steppes : 3000 kms à cheval à travers l’Asie centrale (Robert Laffont, 2001 – avec Priscilla Telmon)
  • Les métiers de l’aventure et du risque (Phare, 2000)
  • La marche dans le ciel. 5 000 Kilomètres à pied à travers l’Himalaya (Robert Laffont, 1999 – avec Alexandre Poussin)
  • On a roulé sur la terre (Robert Laffont, 1999 – avec Alexandre Poussin)
  • Himalaya : Visions de marcheurs des cimes (Transboréal, 1998 – avec Alexandre Poussin)
  • Quand Sylvain Tesson A-t-il eu son accident ?

    Un voyage unique et hors du temps à la rencontre de l’hyper-ruralité, de la beauté de la France et de la renaissance de soi.

    Un voyage à travers la France mais également un voyage intérieur fort et bouleversant qui résonne en chaque spectateur.

    Sorti en octobre 2016 aux éditions Gallimard et vendu à plus de 230 000 exemplaires pour l’édition grand format, « Sur les Chemins noirs » est un ouvrage qui parle de la renaissance de soi. Le roman s’inspire de l’histoire de son auteur.

    Une chute de plusieurs mètres

    Le soir du 21 août 2014, l’écrivain français Sylvain Tesson fait une chute de 8 mètres alors qu’il escalade, ivre, la façade du chalet d’un ami en Savoie. Transporté à l’hôpital d’Annecy, il reste plusieurs semaines dans le coma et souffre de nombreuses fractures des vertèbres notamment et d »une paralysie faciale.

    Thomas Goisque / 2021 Radar Films – La Production Dujardin – TF1 Studio – Apollo Films Distribution – France 3 Cinéma Auvergne Rhône Alpe Cinéma 94 Sylvain Tesson & Jean Dujardin

    Ce grand voyageur et sportif invétéré entreprend d’importantes séances de rééducation et s’entraîne en montant régulièrement les 400 marches de Notre-Dame de Paris.

    Qui était le père de Sylvain Tesson ?

    Homme aux multiples rôles, tantôt journaliste, polémiste, critique et même le temps d’une aventure, candidat aux élections législatives de 1968, Philippe Tesson s’est éteint à l’âge de à 94 ans. Son décès, après une vie passée à marquer l’histoire de la presse, a eu lieu à son domicile de Chatou dans les Yvelines, entouré de sa famille, a précisé le jury du prix Interallié, qu’il présidait toujours, depuis 1993.

    Chef de file de toute une génération de la profession, Philippe Tesson avait été le rédacteur en chef du journal « Combat » de 1960 à 1974, avant de fonder son propre journal, le « Quotidien de Paris », qu’il a dirigé pendant 20 ans, de 1974 à 1994. Avec ce quotidien libéral, soutien de Valéry Giscard d’Estaing avant de s’opposer aux socialistes et à François Mitterrand, il avait mis le pied à l’étrier à de nombreuses personnalités, d’Eric Zemmour à Claire Chazal.

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    Une passion pour le théâtre et la littérature

    « Aujourd’hui, je suis résolument de droite. A 90 ans, on n’est plus à gauche. Même Mélenchon changera », s’amusait ce passionné de politique qui a soutenu Emmanuel Macron.

    Pourquoi Sylvain Tesson est connu ?

    BIOGRAPHIE Sylvain Tesson. Aventurier et écrivain français né en 1972, Sylvain Tesson fascine ses lecteurs depuis plus de 20 ans par ses récits de voyage. Également auteur de nouvelles et d’essais, il décrit le monde avec justesse et poésie.

    Quelle langue parle Sylvain Tesson ?

    Belle position pour méditer sur le bonheur d’être sur le chemin et sur l’immense beauté du monde.

    – Qu’est-ce que vous faites si vous tombez malade pendant le voyage ?

    – Pour me soigner, lorsque je voyage, je n’emporte aucune pharmacie. Je pense que la marche purifie l’organisme. Nul doute que les marcheurs au long cours développent une sorte de caparaçon contre les bactéries du chemin.

    – Combien de langues parlez-vous ?

    – Je parle très mal l’anglais. Je parle un peu le russe, juste pour me débrouiller : demander la route ou des repas. Mais en russe il y a beaucoup de mots empruntés du français, j’en profite pour qu’on me comprenne.

    – Y a t-il quelque chose que vous amenez toujours avec vous en voyage ?

    – Oui, bien sûr : un couteau, un cigare et un livre de poésie française. Avec le premier je coupe le bout du second que je fume en lisant le troisième.

    Mais si on parle sérieusement, le rythme poétique m’aide à trouver le rythme de la marche. En route, j’apprends des poèmes par cœur et je les répète chaque jour. Quand on est seule-seule quelque part dans une forêt sibérienne, ça sauve.

    – Comment financez-vous vos voyages ?

    – Par mes livres, mes conférences, mes films, mes articles.

    C’est quoi le tesson ?

    1. Débris d’un objet en verre, en céramique. 2. Corps d’une céramique cuite, considéré isolément de sa glaçure ou de sa couverte.

    Quel livre de Sylvain Tesson lire ?


    Top 15 des meilleurs

    livres de Sylvain Tesson

    • Dans les forêts de Sibérie (2011) Sortie : août 2011. …
    • Sur les chemins noirs (2016) Sortie : 12 octobre 2016. …
    • Berezina. En side-car avec Napoléon. …
    • Une vie à coucher dehors. …
    • La Panthère des neiges (2019) …
    • 7.6. …
    • Petit traité sur l’immensité du monde. …
    • S’abandonner à vivre.

    C’est quoi un tesson ?

    1. Débris d’un objet en verre, en céramique. 2. Corps d’une céramique cuite, considéré isolément de sa glaçure ou de sa couverte.

    Pourquoi Dit-on une bricole ?

    On peut dire de quelqu’un ayant des ennuis avec la justice, par exemple, qu’il «s’attire des bricoles».

    Une expression dont l’origine remonte au Moyen Age, et qui s’inspire d’un engin de guerre redouté à l’époque. La bricole, apparue dès le XIIe siècle, était une sorte de catapulte, «bricolée» à la hâte sur les champs de bataille avec des morceaux de charpente, d’où son nom.

    Utilisée jusqu’au XVe siècle, cette pièce d’artillerie était capable de projeter des boulets et des pierres de plusieurs dizaines de kilos. Ainsi, lors d’un combat, se mettre à portée de tir de ces engins, et donc «s’attirer des bricoles», était synonyme de s’exposer au danger.

    Avec la généralisation des armes à feu au sein des différentes armées, la bricole est rapidement devenue obsolète avant de tomber dans l’oubli. Mais l’expression qu’elle a engendrée, elle, a traversé les siècles.

    Comment Appelle-t-on une bouteille cassée ?

    Dans l’article « 

    CASSE-,

    , élément de compos. »

    CASSE-, élément de compos.

    Premier élément de composés, formé sur le rad. de casser*, servant à former des subst. masc., parfois empl. comme adj. en usage dans la lang. de la technol., princ. artis., dans la lang. pop. et en arg. A.− [Le compl. désigne un inanimé concr.] Correspond à casser*

    (

    cf. casser

    I A).

    Cf. casse-noix, casse-noisettes.1. TECHNOL. [Le composé désigne un nom d’instrument]

    :

    casse-bouteille , subst. masc.« Manchon de cristal couvert d’une lance de verre mince, qui se brise sous la pression de l’air, lorsqu’on place l’appareil sur le plateau de la machine pneumatique, et qu’on y fait le vide » ( Lar. 19 e , Nouv. Lar. ill. ). Rem. Le casse-vessie est un appareil analogue au casse-bouteille, la plaque de verre à casser étant remplacée par un morceau de vessie tendu et lié de façon à empêcher l’introduction de l’air (cf. Lar. 19 e , Littré, Guérin 1892; Nouv. Lar. ill. renvoie à crève-vessie)Des casse-bouteilles.

    casse-coke (inv.). « Instrument employé dans les usines à gaz pour casser les gros morceaux de coke » ( Lar. 20 eet Lar. encyclop.)

    casse-fer « Coin en acier que l’on place dans le trou carré de l’enclume et qu’on emploie pour casser le fer à froid » ( Lar.

    Quel est le sens du mot masure ?

    1. Maison misérable ou délabrée. 2. Maison rurale traditionnelle du pays de Caux, composée de plusieurs bâtiments d’habitation et d’exploitation dispersés dans un prés clos de haies et planté de pommiers.

    Qui est le plus grand voyageur du monde ?

    Nommé en 2008 le “plus grand voyageur existant sur Terre”, André Brugiroux a aujourd’hui 75 ans et a commencé son premier tour du monde en stop en 1967 : pendant 18 ans, il a parcouru 135 pays. A son retour et pendant 30 ans, il fait des retours incessants entre la France et des dizaines de pays pour finalement avoir la satisfaction de réaliser le rêve qu’il convoitait : “visiter tous les pays et territoires du globe, c’est-à-dire les 251 entités que l’on peut dénombrer à l’heure actuelle”. Un pari fou qu’André Brugiroux nous raconte…

    L’interview d’André Brugiroux, « le plus grand voyageur existant sur Terre« « J’ai pris une vie sabbatique. »

    De 1955 à 1973, j’ai passé 18 ans sur les routes sans rentrer en France. J’ai vu ensuite tous les autres territoires du monde, à savoir 251 entités.

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    « En 1955, ce n’était pas si facile de voyager. »

    A l’époque, il n’y avait pas d’avions à réaction, mais des avions à hélices réservés aux plus riches. Mon père n’a jamais voyagé, et moi j’avais ce rêve, une insatiable curiosité de découvrir le monde. Les tours du monde d’aujourd’hui chez les plus jeunes, c’est souvent un voyage d’un an. Moi, je voulais tout voir.

    « J’ai voulu faire un tour des hommes. »

    J’ai voulu rencontrer les hommes. Mes premiers souvenirs d’enfance, c’était la guerre.

    Pourquoi les écrivains Racontent-ils leurs voyages ?

    Un genre littéraire qui dépasse largement le cadre de la description chronologique de l’espace, il inclut en plus de la géographie, la culture, la langue, la science auxquelles le voyageur est confronté. Dans un récit de voyage, les impressions et les émotions sont aussi importantes que les lieux visités et les personnes rencontrées.

    5Le nouveau et l’interdit éveillent souvent l’intérêt des lecteurs. Le récit rassemble deux séquences qui forment les données requises : une séquence narrative qui met en œuvre les aventures du déplacement et une séquence descriptive qui prend en charge les paysages et les coutumes.

    6Le récit de voyage vise à capturer l’attention du lecteur en l’emmenant ailleurs pour découvrir un monde différent du sien. Un monde qui le pousse à réfléchir, à comparer, à voir à travers la vision de l’Autre.

    7Le récit de voyage est avant tout un récit d’aventures, le récit d’une époque dans un espace donné, c’est un récit d’exploration et de découverte d’un voyageur transcrit pour être transmis. Le mot « voyage » contribue à la présentation du monde dans un processus d’expansion, en mettant en exergue deux fonctions : narrative et descriptive. L’auteur raconte son aventure, ses périples, son trajet tout en décrivant le nouveau monde. Le récit de voyage trouve des difficultés à être catégorisé, vu la variation des textes qu’on lui attribue : de la mémoire à l’autobiographie, du réel au fantastique.

    8Andrien Pasquali (1994) explique le récit de voyage par une série d’oppositions, à commencer par le voyageur qui écrit et l’écrivain qui voyage. Une opposition qui engendre d’autres, comme avoir une vision immédiate du réel avec un style simple et transparent ou une vision intermédiaire masquée par un style littéraire. La perception d’un voyageur avec son expérience n’utilisant que sa vraie parole diffère de celle d’un érudit avec ses connaissances livresques rapportant la parole d’autrui.

    9L’auteur s’inspire de ses voyages, de ses rencontres et de ses sentiments pour écrire un récit de voyage. Ce dernier est considéré comme un genre littéraire où le réel est privilégié au détriment de la fiction. Un genre qui lie un journal de bord à un journal intime, mettant en œuvre une narration qui dépasse de loin l’énonciation des lieux et des dates. Ce genre littéraire associe la fiction au réel pour mettre en exergue la mémoire culturelle de l’Autre.

    10Le récit de voyage prend de l’ampleur quand il vise une période bien déterminée d’une civilisation. L’auteur décrit ce nouveau monde avec ses rites et ses coutumes.

    Qui voyage le plus en France ?

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    Où Y-a-t’il le plus de gens du voyage ?

    La France et la Belgique sont les seuls pays d’Europe à parler de « gens du voyage » pour ne pas faire de différence entre les ethnies.

    Quels sont les pays où les gens du voyage sont les plus nombreux ?

    C’est surtout à l’est que l’on trouve le plus de gens du voyage. La Roumanie arrive en tête, où vivent près de 2 millions de Roms, soit 10% de la population. Les gens du voyage représentent aussi 10% de la population en Slovaquie et en Hongrie. A titre de comparaison, on estime qu’il y a seulement 400 000 gens du voyage vivant en France, soit à peine 0,62% de la population.

    Les gens du voyage dans les pays de l’est ont-ils le même mode de vie qu’à l’ouest ?

    Non, à l’est, les communautés roms ou tsiganes sont presque toutes sédentarisées, c’est-à-dire qu’elles ne se déplacent pas de ville en ville, comme c’est le cas en Europe de l’ouest. En effet, c’est en France, en Belgique, au Royaume-Uni et en Irlande que l’on trouve le plus de groupes nomades.

    Qui est le premier voyageur du monde ?

    Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

    Un tour du monde est un voyage qui consiste à parcourir complètement et dans un sens donné le globe terrestre jusqu’à revenir à son point de départ. Il ne s’envisage le plus souvent que comme un voyage à des latitudes relativement faibles d’ouest en est ou inversement.

    Les premiers hommes à avoir accompli un tour du monde en bateau sont des membres du voyage de Fernand de Magellan (20 septembre 1519 – 6 septembre 1522) et notamment Juan Sebastián Elcano qui réussit à rapatrier le Victoria, seul vaisseau rescapé, après une expédition de trois ans.

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    À leur suite, de nombreux navigateurs ont effectué leur tour du monde à la voile avec pour objectif l’exploration de la Terre. Ces expéditions portent le nom particulier de circumnavigations.

    Ibn Battûta, né le 24 février 1304 à Tanger et mort en 1369 à Marrakech, est un explorateur et voyageur musulman, parcourant 120 500 km en 29 ans de voyages qui l’amènent de Tombouctou au sud à Bulghar (en actuelle Russie, sur la Volga) au nord ; de Tanger à l’ouest à Quanzhou en Extrême-Orient. Ses récits sont compilés par Ibn Juzayy en un livre appelé Rihla (voyage). Il fut le premier homme ayant initié le tour du monde.

    Le tour du monde a aussi constitué un moyen d’émancipation pour les femmes et d’évasion d’une existence toute tracée. La première femme à avoir réalisé un tel exploit est Jeanne Barret entre 1766 et 1774.

    Quel livre lit Jean Dujardin dans les chemins noirs ?

    Et puis il y a le succès de « La Panthère des neiges », adaptation du livre éponyme de Sylvain Tesson par Marie Amiguet et Vincent Munier. Jean Dujardin lit notre scénario et nous marchons deux heures dans le bois de Saint-Cloud.

    Quelles langues parle Sylvain Tesson ?

    Univers du français

    Gréta TCHESNOVITSKAYA

    Sylvain Tesson, écrivain et voyageur : « Les paysages russes m’excitent »

    Ce jeune homme est extraordinaire. Les voyages – c’est son métier et sa passion. A l’âge de 19 ans il a accompli un tour du monde à vélo. Ensuite il a traversé à pied l’Himalaya, a parcouru l’Asie centrale à cheval, a participé à l’expédition en Afghanistan.

    Parti en mai 2003 de Yakoutsk en Sibérie, Sylvain Tesson est arrivé à Calcutta en janvier 2004. Neuf mois durant, il a traversé la taïga au Nord, les grandes steppes de Mongolie, le désert de Gobi, les hauts plateaux montagneux de la chaîne himalayenne et les jungles des contreforts himalayens. À cette époque, il s’est intéressé à l’épopée des évadés du GOULAG soviétique. Il a appris qu’en 1941, le Polonais Slavomir Rawicz, prisonnier d’un GOULAG sibérien s’en était évadé. Il a alors parcouru 6 000 kilomètres, du cercle polaire jusqu’au golfe du Bengale pour reconquérir la liberté. Sylvain Tesson a décidé de refaire le même trajet : « Je voudrais vérifier si c’était possible et rendre hommage au courage de Slavomir Rawicz », explique-t-il les motifs de ce voyage extraordinaire.

    Sylvain publie également plusieurs livres de voyages dont Petit traité sur l’immensité du monde, L’ Axe du Loup et Aphorismes sous la lune et autres pensées sauvages en 2008.

    Quel livre lire quand on a jamais lu ?

    Il a également pris une nouvelle résonance après la décision de la Cour suprême des Etats-Unis de révoquer l’arrêt Roe vs Wade qui garantissaient le droit aux femmes américaines d’avorter.Pourquoi le prix Nobel d’Annie Ernaux ne fera pas forcément plaisir à BHLLes Années (2008)

    « Sauver quelque chose du temps où l’on ne sera plus jamais » : c’est sur ces mots que s’achève « les Années », l’un des projets les plus ambitieux d’Annie Ernaux. Elle y tresse sa propre mémoire, descriptions de photos prises entre 1941 et 2006, à celle de l’histoire commune française. Un ouvrage à la fois personnel et universel qui lui a valu entre autres récompenses le prix Marguerite-Duras et le prix Strega européen, mais aussi une reconnaissance internationale et une kyrielle d’adeptes et de disciples littéraires. Elle a été qualifiée de « première autobiographie collective », tandis que le poète allemand Durs Grünbein l’a saluée comme une « épopée sociologique » révolutionnaire du monde occidental contemporain.

    Mémoire de fille (2016)

    C’est en devenant animatrice dans une colonie de vacances en 1958 qu’Annie Ernaux, qui va fêter ses 18 ans, se retrouve pour la première fois débarrassée de l’emprise de ses parents ou de son école de bonnes sœurs. La découverte de la vie en communauté avec des gens de son âge va bouleverser son monde.

    Pourquoi lire Sur les chemins noirs ?

    Ce que l’on trouve en effet , comme nouveau ton, dans « ses chemins noirs » !

    Nous retrouvons, l’éloge de la nature, des chemins buissonniers, différents et la Marche, comme outil de reconquête de soi….

    « (…) Une cartographie mentale de l’esquive. Il ne s’agirait pas de mépriser le monde, ni de manifester l’outrecuidance de le changer. Non ! Il suffirait de ne rien avoir de commun avec lui. L’évitement me paraissait le mariage de la force avec l’élégance. Orchestrer le repli me semblait une urgence. (p. 35) »

    Pourquoi le film s’appelle les chemins noirs ?

    Doté d’un sac à dos et de bâtons de randonnée, le héros s’aventure du Mercantour jusqu’aux falaises normandes du Cotentin, soit 1.300 kilomètres sur des chemins hors des sentiers balisés qui ont échappé à toute urbanisation.

    «Les chemins noirs, ce sont des sentiers qu’empruntent les animaux sauvages. (…) La France a cette perspective, ces lignes de fuite incroyables. On peut marcher quatre jours sur des chemins de crête sans croiser personne», explique le cinéaste. En empruntant ces pistes rurales oubliées, souvent recouvertes par des broussailles et simplement mentionnées par des traits fins noirs sur les cartes IGN, Pierre se recentre sur lui-même et ne fait qu’un avec la nature, plongé dans un silence salvateur.

    S’il n’a pas réellement parcouru cette longue traversée que Sylvain Tesson a effectuée du 24 août au 8 novembre 2015, Jean Dujardin garde néanmoins un souvenir ému du tournage pendant lequel il marchait 3 à 4 kilomètres par jour. «Sur des places de village, j’ai rencontré des gens qui partagent spontanément quelque chose avec vous. Et qui vous rassurent car ils vous rappellent qu’il existe de l’humain.

     

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