Au sommaire IMAGYNA :
- La cupidité se manifeste par une tendance à être égoïste, avare et à tout accaparer pour soi, notamment en ce qui concerne l’argent, la richesse, les aliments ou d’autres possessions.
- Dans la tradition catholique, la cupidité est considérée comme l’un des sept péchés capitaux, caractérisée par le désir de se complaire dans les acquisitions matérielles et les possessions plutôt que dans l’adoration de Dieu.
- La cupidité a un impact sur la vie personnelle, pouvant entraîner des résultats évolutifs de vie inférieurs, des relations amoureuses plus courtes et un coût psychologique important, conduisant à un manque de bien-être personnel et à une perpétuelle insatisfaction de la vie.
- La cupidité est la recherche immodérée du gain et des richesses, se distinguant de l’avarice, de la convoitise ou de l’avidité.
- La cupidité peut être associée à un mal-être psychologique, entraînant une insatisfaction non seulement liée au fait d’être cupide, mais également à un mal-être général.
- La question de savoir quand la cupidité est devenue une valeur interpelle notre présent et soulève la nécessité de comprendre ce qu’elle représente réellement dans la société actuelle.
Comment se manifeste la cupidité ?
La cupidité est un problème du cœur.
La cupidité, aussi connue sous le nom d’avarice, c’est cette tendance à être égoïste, avare, et à tout accaparer pour soi. Une personne cupide voudra avoir plus que nécessaire ou que mérité, surtout quand il s’agit d’argent, de richesse, d’aliments ou d’un autre type de possessions. La cupidité est aussi connue sous le nom d’avarice. Dans la tradition catholique, l’avarice est un des sept péchés capitaux (le désir de se complaire soi-même dans les acquisitions matérielles et les possessions plutôt que dans l’adoration de Dieu).
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Impact sur la vie personnelle
Cependant, l’infériorité des résultats évolutifs de vie (moins d’enfants à charge et des relations amoureuses plus courtes) aurait un coût psychologique important. Ce manque de lien affectif impacterait ainsi probablement le bien-être des personnes cupides. De ce fait, en manquant de bien-être personnel, ces dernières auraient tendance à être perpétuellement insatisfaites de leur vie. Cette insatisfaction est ainsi non seulement liée au fait d’être cupide, mais également au mal-être psychologique.
La cupidité est la recherche immodérée du gain et des richesses. Passion humaine, elle se distingue de l’avarice, de la convoitise (cupiditas en latin, qui en est donc un faux-ami) ou de l’avidité.
Mais revenons à aujourd’hui. Car j’imagine que la question interpelle notre présent. A partir de quand la cupidité serait-elle devenue une valeur ? Ici ou ailleurs. Ce sera la question du jour…
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Avant de se poser la question, peut-être faudra-t-il se demander de quoi la cupidité est-elle le nom ? Il fut un temps où l’avare était un cupide, son désir de possession était illimité, or pour nous, l’avare désigne plutôt celui qui ne dépense pas. Mais quoi qu’il en soit de cette distinction, le désir d’enrichissement, de l’excès d’enrichissement, d’accumulation d’argent, furent au cours de l’Histoire plus souvent objet de haine et de mépris, que d’admiration. Aristote voit dans la chrématistique…
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Le christianisme, comme l’islam, condamne le prêt à intérêt – et il faudra la Réforme calviniste pour faire sauter ce verrou idéologique qui empêchait l’ouverture des banques. Les utopies classiques ont été contre l’argent comme elles ont été contre la famille et contre la propriété privée. Au début du XIXe siècle, Charles Fourier fustigeait encore « l’art d’acheter trois francs ce qui en vaut six et de vendre six francs ce qui en vaut trois ». L’argent serait-il une figure du mal ? Marx aimait à citer ce passage de Shakespeare où le dramaturge décrit l’argent comme la valeur qui inverse toutes les autres, rendant le laid beau, juste l’injuste, vrai le faux…
La corruption est le mal spécifique de l’argent – directement contraire aux exigences éthiques de dignité et de respect. Pourtant ce tableau poussé au noir peut être effacé, et sur la place de nouveau vide pourrait être écrite une histoire tout autre. Georg Simmel disait de l’argent qu’il favorise l’entendement aux dépens de la sensibilité : en témoigne le terme de spéculation. De plus, l’argent est inséparable de cette rationalisation du politique que représente l’État, jusqu’à une date récente du moins : il constitue l’État (la perception de l’impôt, la solde des armées etc.) en même temps qu’il naît de lui (le pouvoir de frapper monnaie). À l’inverse du troc, fauteur de guerre, l’argent est un facteur de paix : grâce à lui, les conquêtes des marchés remplacent les conquêtes territoriales et les coups de téléphone se substituent aux coups de canon…
Impact sur votre vie spirituelle
Le paradoxe mis en place par le dragon cupidité est parfois plus évident dans le domaine spirituel. La cupidité et tous les autres dragons infiltrer tous les domaines de la vie, et la religion et la spiritualité ne font pas exception. La faim de la vérité spirituelle devient parfois une consommation vorace des enseignements religieux. Si vous êtes mordu par le dragon de la cupidité, vous pouvez recueillir des gourous et maîtres spirituels comme des papillons tant d’années. Pourtant, aucun enseignant n’est jamais la bonne, et vous pouvez…
Il existe une passion vieille comme le monde et d’une actualité toujours brûlante : la cupidité. Ce « désir violent et immodéré de jouir ou de posséder », « de posséder toujours davantage et de souffrir de ne pas avoir assez », est sans âge. Considérée par les psychanalystes comme un équivalent du plaisir auto-érotique de rétention anale, elle se distingue de l’avarice, de la lubricité (cupiditas en latin, qui en est donc un faux ami), de la convoitise ou de l’avidité. Anciennement, elle était associée aux nourritures, au pouvoir ou au sexe. On parlait de cupidité amoureuse, de cupidité des honneurs, de celle de la domination ou de celle de l’estomac. Aujourd’hui, elle est surtout celle de l’argent.