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Les 10 signes révélateurs d’un mauvais patron : Comment les reconnaître et agir efficacement

by Margaret Jacob

Au sommaire IMAGYNA :

  • Un mauvais patron est incapable de déléguer, ce qui témoigne d’un manque de confiance envers ses collaborateurs.
  • Un mauvais patron est un micro gestionnaire, contrôlant chaque aspect du travail de ses employés, ce qui limite leur autonomie.
  • Les signes révélateurs d’un mauvais patron peuvent inclure un comportement désagréable envers ses employés, créant un environnement de travail négatif.
  • La capacité d’un patron à nuire au bien-être et à la santé mentale de ses employés est un signe clé de sa mauvaise gestion.
  • Il est essentiel de distinguer les aspects professionnels et humains dans lesquels un patron peut être qualifié de mauvais pour évaluer correctement la situation.
  • La communication, la surveillance et des objectifs surestimés sont des aspects sur lesquels un patron peut se révéler «mauvais».

Quels sont les signes d’un mauvais patron ?

Les 10 signes révélateurs d'un mauvais patron : Comment les reconnaître et agir efficacement

Les bons responsables soutiennent leurs collaborateurs et favorisent leur développement. Les mauvais patrons ou responsables rabaissent souvent leur personnel et rendent le travail désagréable – sans se soucier des conséquences que cela entraîne généralement. Mais êtes-vous ou avez-vous un mauvais responsable ? Cet article aborde les 10 principaux signes révélateurs.

S’il n’est pas forcément un manager toxique, le mauvais patron peut toutefois nuire au bien-être du salarié et, même, à la longue, à sa santé mentale. Se détacher de ces listes qui nomment des signes finalement relativement vagues, que l’on pourrait retrouver chez nombre de personnes autour de nous, est primordial pour savoir si l’on a réellement à faire à une personne qui nous mène – professionnellement – dans le mur.

Les 10 signes révélateurs d'un mauvais patron : Comment les reconnaître et agir efficacement

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C’est quoi finalement un « mauvais » patron ?

Communication, surveillance, objectifs surestimés : sur quels aspects un patron est-il « mauvais » ? L’important, selon le spécialiste, est d’abord de différencier les sujets sur lesquels le supérieur peut être qualifié de mauvais. Il en existe deux principaux. « Si le problème est centré sur l’activité, on va se demander en quoi il ne remplit pas son rôle, vis-à-vis de l’activité. Si le problème est centré sur l’humain, on va alors questionner des comportements ou remarques problématiques », débute le psychologue.

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Signes révélateurs d’un mauvais patron :

1. Votre patron est incapable de déléguer. Pour être capable de déléguer, il faut savoir faire confiance. Et pour plusieurs patrons, c’est carrément au-dessus de leur force. En déléguant, le mauvais patron se sent marginalisé, voire remplaçable, ce qui lui est insupportable.

2. Votre patron est un micro gestionnaire. Dans le même sens, le mauvais patron est si contrôlant qu’il ne vous laisse aucune latitude. Si vous devez lui faire un compte-rendu pour chacun des clients que vous rencontrez ou pour chacun des courriels que vous recevez, vous n’êtes pas sorti de l’auberge.

3. Votre patron emploie le « je » plutôt que le « nous ». Les patrons toxiques sont connus pour utiliser leur autorité afin de contourner les règles et les processus. Ils pensent que leur rôle dans l’entreprise les rend infaillibles. Plutôt que d’admettre une erreur ou d’assumer la responsabilité de quelque chose qui a mal tourné, ils l’ignorent, rejettent la faute sur quelqu’un ou trouvent des excuses. Lorsque des preuves ou des commentaires constructifs sont fournis, ils les prennent comme une attaque et cherchent souvent à se venger d’avoir été mis au défi.

Dans les entreprises avec un effectif de moins de 10 personnes, le mauvais patron était le plus souvent propriétaire de l’établissement (53 %), alors que dans les entreprises accueillant entre 500 et 1 000 salariés, 57 % des managers démoniaques avaient été embauchés par le biais du recrutement externe.

L’ombudsman recommande aux entreprises d’aller plus loin lors de l’embauche de cadres en faisant notamment des tests de psychométrie et des suivis auprès des nouveaux gestionnaires. « Demandez-leur comment ça va, dit-il, et s’ils ont tous les outils pour bien faire leur travail. » Que faire ? Si une bonne personne peut être un mauvais patron, il y a donc moyen de faire tourner le vent ? Certainement, convient Pierre Lainey, professeur au département de management à HEC Montréal. La preuve ? Il a été lui-même un mauvais patron, jadis. « J’ai été un mauvais boss, confie-t-il. J’étais convaincu que j’étais bon, car mes employés ne me le disaient pas !

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