Au sommaire IMAGYNA :
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- La communication est essentielle pour faire fonctionner une relation, même si vous ne vous voyez que le week-end.
- Planifier et fixer des attentes est crucial pour les couples qui ne se voient que le week-end.
- Les couples qui ne se voient pas souvent peuvent ressentir de la nostalgie et des défis au début de la relation.
- Les couples de fin de semaine, qui se voient uniquement les samedis et dimanches, nécessitent une approche spécifique pour maintenir une relation solide.
- La citation de Woody Allen souligne les défis et les compromis inhérents à la vie de couple.
Les Défis d’un Couple qui ne se voit que le week-end
Croyez-le ou non, si vous ne communiquez pas, votre relation ne fonctionnera pas, même si vous vous rencontrez tous les deux jours. Donc, si vous vous demandez si votre relation peut fonctionner si vous ne vous voyez que le week-end, pensez que tout dépend de vous et de votre style de communication.
Planifier et Fixer des Attentes
Soyons honnêtes : Si vous n’avez pas l’habitude de rencontrer votre partenaire uniquement le week-end, il vous sera difficile de savoir à quoi vous attendre lorsque vous le verrez.
Couples qui ne se voient pas souvent : Les Rendez-vous Peu Fréquents
Pendant les premiers mois d’une relation, les couples qui ne se voient pas souvent se languissent l’un de l’autre. Commencer une nouvelle relation comporte une liste presque infinie de défis. Certaines relations parviennent à surmonter ces obstacles, tandis que d’autres font long feu.
Couples de fin de semaine : un nouveau type de relations
Dernière mise à jour : 13 février 2023. Nous ne parlons pas de ces escapades romantiques qui se font en couple les weekends et servent à déconnecter. Ni de ces relations qui se créent pendant 48 heures et disparaissent ensuite. Non. Nous parlons bien des couples de fin de semaine, ceux qui se voient uniquement les samedis et les dimanches. Mais cette “technique” de vivre comme dans une lune de miel permanente fonctionne-t-elle réellement ?
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« Le mariage, c’est quand un homme et une femme ne font plus qu’un. Le plus difficile, c’est de savoir lequel ! » Cette boutade de Woody Allen résume à merveille la problématique du couple. Tout ce qui paraît magique au début – partager le même lit, les mêmes goûts, les mêmes amis, les mêmes loisirs, les mêmes tics de langage – conduit trop souvent non seulement à l’appauvrissement du sentiment amoureux (sinon à sa mort), mais aussi, parfois, à la sensation de perdre son identité. Le « nous » remplaçant le « je », l’entité couple finit par absorber les individus. La relation transforme l’autre en une prolongation de soi, en un double à la fois prévisible et invisible. Le désir s’éteint, la lassitude gagne.
Sans toit commun, vit-on vraiment l’amour sans contrainte? Ne pas vivre ensemble ne rend pas la relation plus simple, car le couple, c’est toujours du travail et du compromis. Et même en fuyant la routine, et en évitant la corvée du lave-vaisselle, il faut négocier ce que signifie le «nous»: est-ce qu’on ne se voit que le week-end, est-ce qu’on part en vacances ensemble… Selon le fantasme commun, également, ne pas vivre ensemble signifie conserver une sexualité plus intense. Mais la sexualité ne reste jamais celle des débuts. Là aussi, elle évolue et se travaille… Est-ce que finalement, ne pas vouloir habiter ensemble masque une peur de la rupture?
Quels défis pour un couple qui ne se voit que le week-end?
L’un des principaux défis pour les couples qui ne se voient que le week-end est le manque de communication quotidienne. Les petites interactions quotidiennes, qui contribuent à renforcer le lien et à partager les expériences de la vie, sont limitées, ce qui peut parfois entraîner un sentiment de déconnexion.
« Quand on se voit, c’est choisi et c’est une fête. Le fait de se marcher sur les pieds dans la salle de bains le matin ne m’a jamais semblé très constructif… », confiait l’animateur et producteur Thierry Ardisson, au micro du podcast « Dans le rétro », en mars 2022. L’homme de télévision, qui vit séparément de son épouse, la journaliste Audrey Crespo-Mara, déclarait alors voir la vie à deux comme « un tue-l’amour ». Et la distance physique comme la possibilité de « préserver un certain mystère… ». Comme eux, de 7 % à 8 % des couples français font aujourd’hui le choix de ce mode de vie conjugal (selon l’Institut national d’études démographiques, 2019). On les appelle les « couples non cohabitants » ou « LAT », pour « living apart together » (ensemble mais vivant séparément). À l’image de Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre, ou de Françoise Hardy et Jacques Dutronc, en leur temps, ils préfèrent, à la vie à deux, la liberté de choisir quand se voir.
S’ils se parlent, ou plutôt s’envoient des messages textes un bon 30 minutes chaque soir, les amoureux ont décidé, d’un commun accord, de ne pas vivre sous le même toit. Et cela leur va très bien! Chacun vit sa vie au quotidien dans son intimité, puis ils se retrouvent le vendredi soir et passent le week-end ensemble jusqu’au lundi matin. Une formule qu’ils « aiment beaucoup » et qu’ils prolongent parfois lors des vacances où les partenaires en profitent pour cumuler les beaux voyages.
