Au sommaire IMAGYNA :
- Être trop gentil peut entraîner un manque de respect de la part des autres, qui peuvent en profiter et ne pas tenir compte de nos propres besoins et désirs.
- La gentillesse excessive peut être perçue comme un signe de faiblesse et de naïveté, surtout dans un environnement professionnel.
- L’excès de gentillesse peut cacher des troubles enfouis et des faiblesses, et peut résulter d’une exigence envers soi-même et de stress.
- Les critères d’une personne trop gentille incluent avoir du mal à dire non et faire passer les émotions des autres avant les siennes.
Les conséquences d’être trop gentil
Être gentil est une qualité appréciée par beaucoup de gens. Cela montre que l’on est attentionné, aimable et soucieux du bien-être des autres. Cependant, être trop gentil peut également avoir des conséquences négatives sur notre propre vie et nos relations avec les autres.
1. Manque de respect de la part des autres: Lorsque l’on est trop gentil, certaines personnes peuvent en profiter et ne pas nous traiter avec le respect que l’on mérite. Elles peuvent nous prendre pour acquis et ne pas prendre en compte nos propres besoins et désirs.
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Pourquoi est-il mauvais d’être trop gentil ?
Une personne trop gentille se veut certainement être vue comme aimable et altruiste aux yeux de son entourage. Malheureusement, il est fort probable qu’à la longue, ce comportement finisse par porter préjudice à cette personne. En effet, une personne trop gentille est souvent jugée comme faible et naïve, selon l’environnement où elle se trouve. Par exemple, si cette personne se trouve en milieu professionnel, sa gentillesse peut très vite devenir un défaut.
Que cache le fait d’être trop gentil ?
Ainsi, la gentillesse est une qualité propre à tous les êtres humains, transmise par l’éducation. En revanche, l’excès de gentillesse est une stratégie d’adaptation qui relève de troubles enfouis et qui masquent quelques faiblesses. Nous ne sommes pas naturellement trop gentils, on a appris à l’être car ça a été une nécessité vitale à un moment donné. Il y a ici une notion d’exigence envers soi-même et de stress, loin d’être agréable. Notre psychologue détaille plusieurs critères d’une personne trop gentille :
Avoir du mal à dire non ; faire passer les émotions des autres avant les siennes ; se montrer sous son meilleur jour même quand rien ne va ; fuir le conflit quitte à impacter son bien-être : vous vous reconnaissez ? Alors vous êtes sûrement étiqueté.e comme quelqu’un de ‘trop’ gentil.le. Bien que la gentillesse soit une qualité recherchée et désirable, que ce soit dans nos relations et même dans le monde professionnel, elle peut devenir délétère pour les plus altruistes d’entre nous. Ainsi, voici les signes qui montrent que vous faites preuve d’une trop grande gentillesse.
De manière générale, tout comportement excessif devrait inciter à la prudence. On a naturellement tendance à se méfier des personnes colériques, égocentriques, agressives et désagréables. À l’inverse, la gentillesse est plus souvent perçue comme une qualité. Pourtant, lorsqu’une personne est trop gentille, ce n’est pas normal non plus. La gentillesse excessive masque généralement une souffrance. Les personnes qui sont trop gentilles ont peur de ne pas être aimées, elles sont très sensibles au rejet, et ont par conséquent du mal à s’affirmer. Elles ont des difficultés à exprimer leurs besoins et leurs désirs, ce qui les pousse à adopter un comportement passif-agressif et à se montrer trop obéissantes ou trop conciliantes. Elles affichent parfois un trop-plein de bienveillance, d’empathie et de générosité qui sonne faux. Résultat, on ne sait pas trop ce qu’elles pensent. Et c’est justement cette sournoiserie qui dérange, analyse Pascal Anger, psychologue à Paris.
Etre gentil n’est certainement pas une mauvaise chose, c’est juste quelque chose dont il faut faire attention si l’on se sent malheureux pour les autres.
Êtes-vous trop gentil ? 6 vérités sur les gens trop gentils
Je vais discuter de certaines vérités sur des gens qui peuvent être trop gentils, et mettre les désirs et les besoins des autres au-dessus des leurs. Si l’un d’entre eux vous semble vrai, essayez de savoir ce que vous en pensez. De plus, réfléchissez si vous voulez continuer à avoir certaines amitiés où vous vous sentez ainsi.
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C’est quoi une personne gentille ?
Et de poursuivre : la gentillesse est une force, et non une faiblesse. Elle est un choix, un engagement : c’est la décision de la personne de faire advenir le bien, de s’en sentir responsable. Elle n’a rien à voir avec la passivité qu’on lui attribue. En outre, elle a le pouvoir de changer les choses. Entre taire ou ignorer une injustice, et rendre coup pour coup, il y a un troisième chemin : refuser le trop commode ‘c’est comme ça, on n’y changera rien’, et faire à son niveau reculer le mal avec le sourire. Le gentil surprend et désarme, et laisse aussi entrevoir qu’il pourrait être méchant.
Bienvenue sur le blog Du bonheur et des livres ! Si tu es là, ce n’est pas un hasard ! Je t’offre mon guide sur le bonheur Mes 15 clés pour plus de bonheur pour t’aider à reprendre ton bonheur en main. Clique ici pour le télécharger. Etre trop gentil, c’est petit à petit se perdre dans un quotidien qui ne nous plaît pas. C’est accumuler de la fatigue et de la frustration. C’est s’oublier, oublier ce qui nous fait vibrer, car on ne pense qu’aux autres. Alors, comment ne plus s’oublier pour les autres ? Voici 7 conseils !
1 – Comprends pourquoi tu es trop gentil, trop gentille. Tout d’abord, il est essentiel de comprendre ce qui te pousse à être trop gentil, trop gentille.
Mais en psychologie, la gentillesse est un concept beaucoup plus profond et complexe qui est associé à l’empathie, à l’altruisme ou encore à la générosité. Une personne gentille possède des qualités relationnelles souvent plus développées que la moyenne lui permettant de s’adapter à l’autre et de le comprendre. Aujourd’hui, la notion de gentillesse est en cours de réhabilitation. De nombreux ouvrages faisant l’éloge de la bienveillance comme moteur du bonheur paraissent chaque année.
Magali, informaticienne de 33 ans, nous interpelle sur les limites de sa générosité sans faille. « Je suis trop gentille et, à la longue, j’en subis les conséquences. Pendant nos dernières vacances en famille, je me suis aperçue que je donnais plus que les autres, sans rien recevoir. À eux, mon oreille attentive et mes sourires. À moi, les courses, les repas, le ménage… J’en ai marre d’être une bonne poire ! » Certains, plus à l’écoute, plus sensibles, sont en effet de nature empathique. Mais peut-on vraiment être « trop » sympathique ? « L’excès de gentillesse n’a pas à voir avec la gentillesse, mais avec l’excès, confirme Isabelle Méténier, psychologue et thérapeute. Il la détourne de son objectif, le lien harmonieux. Et s’en sert frauduleusement pour combler des failles. » Quelles peurs et quels désirs nos bons et loyaux services cachent-ils ?
Les traits de personnalité des gens “trop gentils” :