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Quels éléments absurdes et critiques sociales trouve-t-on dans « De l’autre côté du miroir » par rapport à « Alice au pays des merveilles » ?

by Judith Ferrier

Dans « De l’autre côté du miroir » par rapport à « Alice au pays des merveilles », on retrouve des éléments absurdes et des critiques sociales plus prononcés. Ce roman de Lewis Carroll, publié en 1871, offre une vision encore plus farfelue où le rêve et la réalité se mélangent. En passant à travers le miroir, Alice se retrouve dans un univers renversé où les règles sont bouleversées. Ce récit met en lumière l’inventivité absurde et une critique sociale plus acerbe que dans le premier opus. L’absurdité est poussée à son paroxysme, offrant une lecture riche en symboles et en réflexions sur la société de l’époque.

Le miroir, élément central de l’histoire, revêt un symbolisme complexe et ambivalent. Il agit comme une passerelle entre deux mondes, reflétant une image fidèle, illusoire ou inattendue. Cette dualité se retrouve dans les thèmes abordés par Carroll, où la réalité et la perception de celle-ci sont remises en question. A travers le prisme du miroir, l’auteur explore des critiques sociales sous-jacentes, invitant le lecteur à une réflexion plus profonde sur la société de son époque.

Ainsi, « De l’autre côté du miroir » se distingue par une approche plus poussée de l’absurde et des critiques sociales, offrant une lecture riche en symboles et en interprétations sur la société victorienne. Ce roman invite à une exploration des méandres de l’imagination et à une remise en question des normes établies, faisant de cette œuvre un classique de la littérature aux multiples facettes.

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