Dans les Alpilles, près d’Avignon, où il vit, c’est son fils Jules qui s’occupe de lui. « C’est mon père, mon frère, mon copain, parfois mon fils », a expliqué l’aîné du chanteur et acteur, devenu lui-même comédien. « Sans lui, je ne pourrais plus jouer », a assuré Guy Marchand.
Qui est l’épouse de Guy Marchand ?
Guy Marchand, né le 22 mai 1937 dans le 19e arrondissement de Paris, est un acteur, chanteur, musicien et écrivain français.
À la fois pianiste, saxophoniste et clarinettiste, il joue du jazz, du blues et du tango.
Guy Émile Marchand naît le 22 mai 1937 dans le 19e arrondissement de Paris[1]. Fils d’un ferrailleur et d’une femme au foyer, il grandit à Belleville, quartier de l’Est de Paris, où il reste jusqu’à son service militaire. Pendant ses études secondaires au lycée Voltaire à Paris, il joue de la clarinette la nuit dans les boîtes de Saint-Germain-des-Prés[2].
Il fait son service militaire comme élève officier de réserve (EOR) à la base école des troupes aéroportées (BETAP) de Pau, et est affecté comme sous-lieutenant – breveté parachutiste[3] – dans un régiment du train aéroporté, plus précisément au groupe de livraison par air (GLA 1) à Montigny-lès-Metz en 1962. Cela lui vaudra d’être mis en subsistance pendant quelque temps au sein du 3e régiment étranger d’infanterie (3e REI), comme officier de liaison, lors de la guerre d’Algérie[4]. Il intègre un temps la Légion étrangère. C’est au titre d’officier parachutiste qu’il fait partie, au début des années 1960, des conseillers techniques du film Le Jour le plus long et entre dans le monde du cinéma[5]. Il indique avoir « sauté en parachute 60 fois » dans toute sa vie[6].
Guy Marchand en 2008 à Tournai (Belgique).
Doté d’une belle voix de crooner, il connaît un premier succès dans la chanson avec son interprétation d’un tube de l’été 1965 La Passionata. Plusieurs albums et singles suivent avec un égal succès. Guy Marchand, qui adore le tango, est aussi l’interprète, en 1982, de la chanson Destinée (paroles de Philippe Adler, musique de Vladimir Cosma), sur la bande originale des films Les Sous-doués en vacances, de Claude Zidi, et Le père Noël est une ordure, de Jean-Marie Poiré. Guy Marchand considère d’ailleurs avec son humour habituel que Destinée, au même titre que sa publicité pour le PMU[7] aux côtés d’une jeune femme et de son confrère André Pousse (au slogan final Avec le PMU (aujourd’hui) on joue comme on aime), est sa principale contribution au patrimoine culturel[8].
Au cinéma, après un premier rôle de parachutiste (coupé au montage) dans le film américain Le Jour le plus long (1962)[9],[10], il joue, aux côtés de Lino Ventura et de Brigitte Bardot, dans Boulevard du rhum, de Robert Enrico (1971). Sa carrière cinématographique est marquée par de nombreux seconds rôles ; celui de l’inspecteur adjoint de Lino Ventura, dans Garde à vue, de Claude Miller, lui vaut le César du meilleur acteur dans un second rôle en 1982.
Quelles ont été les compagnes de Guy Marchand ?
Acteur, chanteur, le célèbre interprète de Nestor Burma à l’affiche du téléfim La dernière partie n’a pas renoncé aux lumières. Le comédien âgé de 84 ans aura vécu une vie riche, que ce soit sur le plan professionnel ou personnel. Séducteur, il a d’abord épousé Béatrice Chatelier, la mère de ses deux enfants, Jules et Ludivine, puis en 2006, la mannequin Adelina Khamaganova.
De quarante ans sa cadette, la jeune femme, désormais séparée de lui, vit à Berlin. Une relation longue-distance qui n’empêche pas Guy Marchand, quant à lui installé en Provence, d’évoquer avec tendresse sa deuxième épouse. « C’est la femme de ma vie « , avouait-il dans les colonnes de Gala. Un jour, la jeune femme est partie. Il lui a pardonnée et l’a laissée vivre d’autres histoires, et surtout devenir maman. « Elle a droit à autre chose, j’adore ses enfants… Moi, je ne pouvais pas lui en faire », confesse le comédien avec émotion.
« Je ne veux pas d’autre épouse »
Malgré la distance, les deux époux s’appellent tous les jours et passent du temps ensemble. « Quand je vais la chercher à la gare, je la regarde arriver vers moi.
Qui est le fils de Guy Marchand ?
Accueil|Culture|Grande interview: Guy Marchand, père et fils en visite – Guy Marchand, père et fils en visite
L’acteur et chanteur fêtera ses 85 ans au mois de mai. En attendant, miné par des ennuis de santé, il ne peut se déplacer qu’avec l’aide de son fils Jules. Ils nous ont rendu visite il y a quelques semaines.
Publié: 15.04.2022, 21h29
Guy Marchand avec son fils Jules: «Les artistes sont souvent lourds. J’espère que mon fils n’oubliera jamais d’être léger.»
YANNICK LELEU
Guy Marchand est passé à Genève il y a quelques semaines, en février, pour une visite impromptue qui nous a permis de prendre de ses nouvelles. Des ennuis de santé l’ont considérablement affaibli ces derniers mois. Il ne peut plus se déplacer qu’avec son fils, Jules, qui compte lui aussi embrasser le même métier et qui a d’ailleurs fait une apparition dans «Cinquième set» l’an passé. On en a profité pour lui poser à son tour quelques questions. En mai prochain, Guy Marchand fêtera ses 85 ans. Évoquer sa carrière, son passé, ne lui pose pas de problème, sa mémoire est encore infaillible.
Où vit Guy Mardel ?
Guy MARDEL, de son vrai nom Mardochée ELKOUBI, né le 30 juin 1944 à Oran.
Quinze ans, Guy MARDEL obtient le premier prix de piano au conservatoire d’Oran, il part en France dès 1959, où il suit une scolarité normale, jusqu’en fac de droit, mais la musique reste l’une de ses plus grandes passions.
Après de multiples expériences et notamment au sein d’un orchestre de Jazz, Guy MARDEL se lance en solo, et rencontre le succès en 1965 avec le titre “N’avoue Jamais”, qui lui permettra de représenter la France la même année à l’Eurovision, et se classera troisième.
Malgré cette exposition, et ce succès, Guy MARDEL ne confirme pas mais tente alors sa chance à l’étranger.
De retour en France Guy MARDEL poursuit dans la musique, mais surtout dans la production, même s’il sortira quelques titres comme “Monsieur Plum”, “Toi et moi” ,”C’est une larme”, “Quand on est jeune”, “Qui n’aime pas les filles” ,”Kitty” , “C’est la Primavera”, “Le temps d’aimer”, “Un arc et des flèches”, ” On ne met pas l’amour dans sa valise”, ” Ma femme”, “De quoi demain sera-t-il fait ?” , “Gueule d’ange”, “Paradiso Brésillienne Paradiso” , “Entre nous” , “Prends le temps”.
En 1977, Guy MARDEL crée le label MM Records, distribué par Phonogram.
Guy MARDEL vit actuellement à Jérusalem.
Quel est le vrai nom de Guy Mardel ?
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.
Guy Mardel[1], nom de scène de Mardochée Elkoubi, né le 30 juin 1944 à Oran, est un auteur-compositeur et chanteur français.
Ses quinze premières années se passent en Algérie française où il obtient un premier prix de piano au conservatoire d’Oran. Venu en métropole en 1959, il suit un bon cursus scolaire qui le mène en faculté de droit. Il se montre déjà intéressé par la chanson mais sans succès.
Après avoir débuté dans un orchestre de jazz, Guy Mardel devient célèbre en 1965. Il est sélectionné par un jury d’experts face à de nombreux artistes dont Marie Laforêt, Sophie Darel, Michèle Torr pour représenter la France au Concours Eurovision de la chanson 1965 à Naples en Italie. Avec sa chanson N’avoue jamais, dont il signe la musique sur des paroles de Françoise Dorin, il se classe troisième sur dix-huit pays.
Il figure sur la « photo du siècle » regroupant 46 vedettes françaises du « yéyé » en avril 1966.
Est-ce que Guy Mardel a gagné l’Eurovision ?
« N’avoue jamais » est sélectionnée pour représenter la France au Concours de l’Eurovision. La chanson ne termine que troisième, derrière le Royaume-Uni et le Luxembourg.
Quel est le nom du chanteur qui chante n’avoue jamais ?
Guy Mardel « N’avoue jamais » Eurovsion 1965 | Archive INA – YouTube.
Où est enterré Guy Marchand ?
Monsieur Guy MARCHAND
mercredi 23 novembre 2022, à 10 heures, en l’église Saint-Rémi de Douvres-la-Délivrande, suivie de l’inhumation à 15 heures, au cimetière de Saint-Pierre-des-Ifs.
Qui a chanté la chanson destinée ?
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.
Destinée est une chanson française, interprétée par Guy Marchand, écrite par Philippe Adler et Guy Marchand[1], et composée par Vladimir Cosma.
Initialement été créée pour le film Les Sous-doués en vacances de Claude Zidi, sorti en 1982[2], elle a également été utilisée la même année dans le film Le père Noël est une ordure lors d’une scène de slow entre Pierre Mortez (Thierry Lhermitte) et Katia (Christian Clavier)[2],[3].
Dans Les Sous-doués en vacances, deux personnages, Memphis (joué par Guy Marchand) et l’inventeur du love computer (joué par Jean-Paul Farré), sont montrés en train de composer la chanson. Dans la scène, la musique est déjà terminée et les paroles restent encore à écrire. Chaque version est testée sur des cobayes grâce au love computer. Une version propose les paroles « Désespoir, je vois tout en noir, il va pleuvoir », une autre « Sur la plage, j’irai te chercher des coquillages ». Finalement la version qui obtient le plus de succès est celle dont les paroles sont : « Destinée, on était tous les deux destinés ».
Qui est enterré à Cannes ?
- Miribel : tombe de Jacques Dumesnil
- Cannes : tombes de Martine Carol, Charles Fabergé, Georges Guétary, Jacques Marin, Prosper Mérimée, Jean Mineur, etc…
- Èze : tombe de Francis BLANCHE
- Peymeinade : tombe de Lolo Ferrari
- Mougins : tombe de Charles Vanel et Volodymyr VYNNYTCHENKO.
- Nice : La ville de Nice possède plusieurs cimetières. Parmi ceux ci les cimetières Caucade ; Cimiez et du Château sont les lieux de sépulture des célébrités locales. Nous trouvons les tombes de Renée Saint-Cyr, Léon GAMBETTA, René Goscinny, Jean Behra , Raoul DUFY , Henri MATISSE . Notons enfin le cimetière de Gairaut qui est lieux de sépulture de Jean et Jacques MÉDECIN (maires de Nice).
- Roquebrune-Cap-Martin : tombe de Charles-Édouard JEANNERET plus connu sous le nom de Le Corbusier.
- Saint-Paul-de-Vence: tombe de Marc CHAGALL.
- Vallauris : tombe de Jean Marais
- Carcassonne : tombe de Gilbert Benausse, Jean Cau, Raymond Chesa, Jacques Gamelin, Paul Lacombe, François-Henry Laperrine, puig aubert, Christian Baile, Maurice Sarraut, Albert Sarraut, René Nelli, Guillaume Roux Peyrusse, Henri Gout, Guillaume Ferdinand Teissier
- Castelnaudary : tombes de Antoine François Andréossy, Auguste Fourès, Eugène Mir, Félix Coffinieres, Edmond Combes
- La Digne-d’Aval : tombe de Cécile Sabouraud, épouse de Jean de Brunhoff
- Leucate : tombe de Henri de Monfreid
- Moux : tombe de Henry Bataille, Jean Lebrau
- Narbonne : tombe de Charles Trénet
- Trèbes : tombe de René Coll
- Villalier : tombe de Armand Barbes, Joe Bousquet
- Muret : tombe de Vincent AURIOL, Clement Ader
- Balma : tombe de Jose Cabanis (cimetière Balma-Lasbordes)
- Toulouse : tombe de Paul Riquet (cathedrale Saint-Étienne)
- Boissy-sans-Avoir : tombe de Romy Schneider
- Bonnieres sur Seine : tombe de Marcel Sembat
- Bougival : tombes de Guillaume Depardieu, Robert Rocca
- Carrières-sous-Poissy : tombe de Saturnin Fabre
- Jouars-Pontchartrain : tombe de Robert Dalban
- Jouy-en-Josas : tombe de Léon BLUM, Louis Joxe, François certain de Canrobert
- La Celle-les-Bordes : tombe de Georges BIDAULT
- Le Vésinet : tombe de Julien Carette
- Maisons-Laffitte : tombe de Pierre Larquey , Jules Brasseur , Albert Brasseur , Lysiane Rey
- Maurepas : tombe de Erich von Stroheim
- Montainville : tombe de Bourvil
- Montfort-l’Amaury : tombe de Thierry Gilardi, Jean Marchat, Georges Marchal
- Orvilliers : tombe de Georges POMPIDOU, Claude Pompidou
- Saint-Germain-en-Laye : tombe de Jacques Tati
- Saint-Rémy-lès-Chevreuse : tombe de Raymond Devos
- Thoiry : tombe de Jean-Pierre Cassel
- Versailles : tombes de Marc Allegret, Louis BLÉRIOT, Georges Saillard, Hélène Dieudonne, cimetière des Gonards, Jacques Carrus, cimetière Notre Dame, Pierre de Guingand, cimetière Saint Louis
- Antony : tombes de Flaminio Bertoni, Richard Guino, Pierre Kohlmann, Maurice Labrousse, Prosper Legouté, Auguste Mounié, Roger Ninféi, Georges Suant, Maurice Ténine
- Asnières-sur-Seine : tombe de Alfred Adam
- Cimetière des Chiens (abrite aussi d’autres animaux), qui serait le premier cimetière pour animaux au monde
- Bagneux, cimetière communal (À ne pas confondre avec le cimetière parisien de Bagneux) : tombes de Junie Astor, Barbara, Claude Berri, Florence Blot, Lucienne Boyer, Billy Bridge, Anne-Marie Carrière, Marcel Dalio, Charles Denner, Jean Girault, Gribouille, Jacqueline Maillan, Jacques Monod, Claude Piéplu, Stéphane Sirkis, Jean Vigo,
- Boulogne-Billancourt : tombe de C Jérôme ( cimetière de l’est )
- Bourg-la-Reine : tombes de Léon Azéma, Georges Bénédite, Henri Chopin, André Couder, Boris Dolto et sa femme Françoise Dolto et leur fils le chanteur Carlos, Evariste Galois, François Hennebique, Pierre Janet, Jacques Julien Margottin, Philippe-Jean Pelletan, Paul Portier, Arnold Van Gennep
- Châtillon : tombes de Léo Malet, Théodore Monod
- Clichy : tombes de Michel Beaune, Jacques Mesrine
- Colombes : tombe de Michel Roux
- Courbevoie : tombe d’Arletty
- Garches : tombes de Sidney Bechet, Henri Bergson, Jacqueline Delubac, Jacques Deray, Christian Duvaleix,
- Levallois-Perret : tombe de Gustave Eiffel, Nicolas Eugène Levallois, Louise Michel, Maurice Ravel, Léon Zitrone, Guy Grosso
- Marnes-la-Coquette : tombe de Maurice Chevalier
- Meudon : tombe de Louis-Ferdinand Céline, Renée Faure
- Montrouge : tombes de Michel Audiard, Georges Biscott, Coluche, Charles Pelissier, Albert Simonin
- Neuilly-sur-Seine : tombes de Armand Beauvais, Robert Chapatte, René Clair, Darry Cowl, Pierre Delanoé, Anatole France, Pierre Fresnay, Henri Genès, Michèle Leleu, Paul Meurisse, Victor Noir, Pierre Mondy
- Saint-Cloud : tombe de Bernard Blier
- Sceaux : tombes de Florian, Pierre et Marie Curie (vide depuis le transfert au Panthéon), Frédéric et Irène Jolliot-Curie.
- Ville-d’Avray : tombes de Jean Rostand, Boris Vian
- Bagnolet : tombe de Odette Laure
- Les Lilas : tombes de Jean Yanne, Jean Yonnel
- Pantin
- Le Pré-Saint-Gervais : tombe de Freddy Bario
- Saint-Ouen-sur-Seine, cimetière communal (à ne pas confondre avec le Cimetière parisien de Saint-Ouen) : tombes de Alphonse Allais, Jean Tissier, Jane Sourza , Gérard Darrieu, Marcelle Géniat, Suzanne Lenglen
- Saint-Denis :
- Cimetière communal : tombe de Pierre Degeyter (compositeur de l’Internationale)
- Basilique cathédrale de Saint-Denis : tombes des rois de France Clovis Ier, Clovis II, Pépin le Bref (Pépin III), Marie-Antoinette d’Autriche, Henri III, Henri IV, François II, Carloman II, Philippe IV le Bel, Philippe V le Long, Philippe VI de Valois, Charles IV le Bel, Charles IX, Louis III, Louis VI le Gros, Louis VII le Jeune, Louis XII, Louis XIV le Roi Soleil, Louis XV, Louis XVI, Louis XVIII
Voir aussi (sur Geneawiki) Liens utiles (externes)
Où est enterré André Pousse ?
Il arrête sa carrière de cycliste professionnel dans les années 1950, à l’âge de 30 ans
Le cycliste français devenu acteur, André POUSSE est mort à 85 ans, le 9 septembre 2005 à Gassin (Var). Il meurt à l’hôpital de Gassin des conséquences d’un accident de voiture qu’il a eu 4 jours plus tôt à la suite d’une piqûre de guêpe pendant qu’il conduisait. Il est inhumé à La Garde-Freinet dans le Var. Né le 20 octobre 1919 à Paris 5e, d’un père commissaire de police d’origine catalane et d’une mère auvergnate, il conservera toujours la marque de ses doubles origines. Il évolue dans les années 1920-1930, dans le Paris populaire de l’entre-deux-guerres, il en gardera son personnage de « titi parisien ». Sportif, il commence par la boxe avant de débuter une carrière de cycliste professionnel.
Mort dans un accident de voiture
Caradisiac.com annonce son décès en publiant l’article « André POUSSE meurt des suites d’un accident de voiture ». Il y est rapporté que « Le comédien André POUSSE est décédé le 8 août dernier des suites d’un accident de voiture.
Quel instrument joue Guy Marchand ?
Il crée la même année sa marque de batterie et de micros avec la collaboration de Prodipe. Les batteries et les micros sont distribués dans le monde.
En Novembre 2006, il rejoint l’équipe de « Autour du Blues ». Il accompagne Larry Carlton et Robben Ford, au New Morning. Aujourd’hui, il présente son nouveau quintet qui s’accompagne d’un album « Projections Jazz Séries ». Il reprend les plus grands thèmes de séries T.V et films, tels que Mannix, Les rues de San Francisco, Mission Impossible, Bullit…