William Sheller, 74 ans, s’est retiré dans une maison achetée dans le Loiret, près d’une forêt, il a vendu son piano à queue et dispersé ses disques d’or comme ses victoires de la musique, qui « encombrent et font de la poussière ».
Pourquoi William Sheller ne veut plus jamais chanter ?
William Sheller quitte la scène. Le 3 mars dernier, à l’occasion de la sortie de son autobiographie, l’auteur-compositeur a annoncé qu’il mettait un terme à sa carrière musicale, notamment à cause de problèmes de santé pour lesquels il est obligé de prendre de la cortisone et qui l’empêche de jouer du piano à cause de ses doigts gonflés. « Je ne ne chanterai plus. Je coûte trop d’argent à ma maison de disques ! Et faire des tournées de 200 concerts par an, ce n’est plus possible », a-t-il ainsi confié en décembre dernier à la République du Centre. Et c’est une toute autre maladie qui a été il y a quelques années un véritable déclic pour lui.
« J’ai fait un burn-out il y a quelques années, confie ainsi William Sheller dans les colonnes de Paris Match, en kiosque jeudi 18 mars. Et dans les différents plumards des différentes cliniques que j’ai fréquentées, j’ai eu des flashs.
Quel chanteur s’appelle William ?
Le petit garçon s’appelle William. Depuis les années 1950, il a bien grandi, devenant un artiste reconnu de la chanson française, au point que son nom, Sheller, se retrouve en haut de l’affiche.
Quel est l’âge de Michel Jonasz ?
Michel Jonasz est un auteur-compositeur-interprète et acteur français, né le 21 janvier 1947 à Drancy (Seine-Saint-Denis).
Il a notamment composé La Boîte de jazz, Joueurs de blues, Les Vacances au bord de la mer (paroles de Pierre Grosz). Son titre fétiche sur scène est Super Nana (de Jean-Claude Vannier). Il mène en parallèle une carrière d’acteur au cinéma et à la télévision.
Michel Jonasz est né de parents immigrés hongrois juifs. Son grand-père paternel est cordonnier à Budapest et chante en amateur des opérettes. Son père, Oscar Jonasz, né en Hongrie en 1920, est arrivé en France avec ses parents à l’âge de cinq ans. Il est naturalisé français en 1939[1]. Sa mère Charlotte, née en 1917 à Berettyóújfalu (Autriche-Hongrie), arrive en France à l’âge de 16 ans, son frère Lajos, médecin, l’ayant fait venir[2]. Ils se marient le 26 juillet 1941 à Drancy. La mère de Michel Jonasz et sa sœur, échappent de peu à la mort lors de la Shoah qui n’a pas épargné leurs proches. Abraham Weisberg, le grand-père maternel, originaire de Pologne, qui s’est installé en Hongrie en 1911, est resté dans la mémoire familiale au point qu’un spectacle lui sera consacré intitulé Abraham[3] retraçant l’histoire de ce hazzan mort pendant[4] la Shoah[5].
Ses parents sont tous deux coiffeurs, puis son père, joueur amateur de violon, devient représentant de commerce. Ils vivent au Blanc-Mesnil.
Michel Jonasz quitte l’école dès l’âge de quinze ans et cherche sa voie dans le domaine artistique. Peinture, théâtre et musique l’intéressent, mais c’est finalement une place de pianiste qui lui met le pied à l’étrier. Après des débuts en 1965 aux claviers dans le groupe du rocker marocain Vigon et Les Lemons, il fonde en 1966 le groupe King Set avec son ami Alain Goldstein à la guitare.
Quel est l’âge de Véronique Sanson ?
Quel est le vrai nom de William Sheller ?
William Sheller
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.
William Sheller | |
---|---|
Profession(s) | Compositeur, chanteur, pianiste |
Genre(s) | Variété, musique instrumentale, rock, rock progressif, rock symphonique |
Instrument(s) | Piano, sitar[1]. |
Années actives | Depuis 1968 |
Label(s) | Universal Music Group |
William Sheller, de son vrai nom William Hand, né le 9 juillet 1946 à Paris, est un compositeur et chanteur français.
Biographie
Enfance et apprentissage
William Hand est né le 9 juillet 1946 dans le 17e arrondissement de Paris, d’un père soldat américain et d’une mère française. Lorsquil a 3 ans, sa famille décide daller tenter sa chance aux États-Unis et part sinstaller dans une petite ville de lOhio. Tout petit, William côtoie de grands musiciens de jazz américains, amis de ses parents. On loblige à écouter assis sans bouger ni parler pour ne pas les déranger, ce qui lui a laissé par la suite une répulsion profonde et définitive pour le jazz.
À lâge de sept ans, William rentre définitivement en France. Il est pris en charge par sa famille maternelle travaillant dans le milieu du théâtre. Sa grand-mère, ouvreuse au théâtre des Champs-Élysées et son grand-père, chef décorateur à l’Opéra Garnier, lui permettent dassister à des centaines de spectacles, aussi bien côté salle que côté coulisses, à « lenvers du décor » au sens strict du terme. Si bien quà dix ans, William a déjà décidé de son destin : il veut devenir « un petit Beethoven, sinon rien ». Ses parents approuvent le projet sans restriction, estimant « que cela devait se terminer comme ça ». L’apprenti compositeur sinitie d’abord au piano pour servir de support à ses compositions. Afin de les perfectionner, il achète un traité d’harmonie dYves Margat, auquel de son propre aveu, il ne comprit que peu de choses. Il demande à sa mère de rencontrer ce monsieur Margat, ancien disciple de Gabriel Fauré. La rencontre arrive, William Sheller lui présente alors ses compositions. Yves Margat indique à la mère de l’adolescent que celui-ci a beaucoup de retard pour suivre un parcours normal et que s’il désire investir une carrière de musicien classique, ce dernier doit arrêter son cursus scolaire au profit du conservatoire. Paulette accepte l’arrêt en classe de seconde sachant que son fils n’avait plus d’intérêt que pour la musique. Yves Margat lui apprend non seulement le piano et la composition, mais aussi le latin, la philosophie, lhistoire, la littérature, etc. Lancé dans la composition de musique sérielle, qui lennuie profondément, il se prépare très sérieusement au Prix de Rome.
Mais les Beatles vont venir involontairement infléchir cette trajectoire toute tracée : un jour où son piano est parti en réparation, William va sentraîner chez une amie qui lui fait écouter de la musique « moderne ».
Pourquoi tout le monde ne peut pas chanter ?
EST-CE QUE TOUT LE MONDE PEUT APPRENDRE À CHANTER?
On a tous dans son entourage au moins une personne qui chante comme une casserole, et ne s’autorise à pousser la chansonnette que sous la douche. Mais chanter faux est-il une fatalité ou est-ce que tout le monde peut apprendre à chanter ?
Tout le monde peut chanter, à l’exception des personnes atteintes d’amusie, une anomalie d’ordre neurologique ou génétique qui empêche la perception du rythme, de la mélodie et des accords. Alors pourquoi certaines personnes chantent-elles faux ? L’explication est simple: comme un instrument de musique, le chant nécessite de la pratique, et les gens qui ne chantent pas juste manquent tout simplement d’entraînement.
Apprendre à utiliser sa voix
Comme dans n’importe quel sport ou dans l’apprentissage de n’importe quel instrument, la pratique joue un rôle essentiel. Et une personne qui n’a pas appris le chant ne chante pas forcément juste dès qu’elle émet ses premières notes. C’est donc en travaillant sa voix sans forcer et en persévérant qu’on l’entraîne, tel un muscle avant une épreuve sportive.
Faire des gammes et des exercices
Le premier réflexe à prendre lorsque l’on entraîne sa voix est de l’échauffer en faisant des exercices dans une gamme moyenne, puis grave, et enfin aiguë, pour revenir ensuite à la gamme moyenne, et ainsi de suite.
Qui a écrit le plus de chanson en France ?
Pierre Delanoë le 25 décembre 1982.
modifier
Pierre Charles Marcel Napoléon Leroyer, dit Pierre Delanoë, né le 16 décembre 1918 à Paris (10e arr.) et mort le 27 décembre 2006 (à 88 ans) à Poissy, est un parolier français.
Pierre Delanoë a écrit plus de 5 000 chansons et poèmes. Il a écrit pour des interprètes aussi différents que Gilbert Bécaud (Nathalie, Et maintenant, Je reviens te chercher), Gérard Lenorman (La Ballade des gens heureux), Dalida (Laissez-moi danser, Salma Ya Salama, Ciao amore, ciao, Comme disait Mistinguett), Michel Sardou (Les Lacs du Connemara, Être une femme, Vladimir Ilitch), Joe Dassin (L’Été indien, Les Champs-Élysées), Michel Fugain (Je n’aurai pas le temps, Fais comme l’oiseau, Une belle histoire), Sylvie Vartan (La Maritza, Qu’est-ce qui fait pleurer les blondes ?), Hugues Aufray (Stewball) ou Nana Mouskouri (L’Amour en héritage).
Il a été le directeur des programmes de la station radio Europe 1 à sa création en 1955, et le président de la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (SACEM) à trois reprises.
Pierre Leroyer suit une scolarité à l’école des Oratoriens et étudie d’abord le droit. Il entre dans l’administration fiscale et devient agent surnuméraire de la régie de l’Enregistrement, des Domaines et du Timbre[note 1],[1].
Après guerre, il retrouve son beau-frère Gérald Biesel – dit Frank Gérald -, qui compose des musiques. Il s’amuse alors à mettre des paroles sur ces mélodies et il leur vient l’idée de monter un numéro de duettistes, Pierre au chant et Frank Gérald au piano. En 1948, Y’a un pli au tapis du salon est le titre de leur première chanson, à laquelle s’ajouteront d’autres titres comme Rondo pour un électron.