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Qui est le mari de Dominique Lavanant ?

by Judith Ferrier

Une femme comme on n’en fait plus », a-t-elle déclaré. Outre l’actrice, ce dernier hommage a été rendu en présence de sa famille, dont son compagnon Jacques Jenvrin, de Thierry Coudert, le préfet de l’Eure, ou encore de Jean-Pierre Morel, le maire de la commune où vivait le couple depuis plusieurs années.

Où est né Dominique Lavanant ?

Dominique Lavanant est une actrice française, née le 24 mai 1944 à Morlaix (Finistère).

Dominique Lavanant naît le 24 mai 1944 à Morlaix, en Finistère. Son père, électricien, se noie en mer alors qu’elle n’a que deux ans. En compagnie de son frère, elle est alors élevée dans le plus grand dénuement par sa mère devenue veuve à 23 ans. Sa mère se remarie onze années plus tard avec un cardiologue de Morlaix avec lequel elle a une fille[1].

De ses 14 ans jusqu’à ses 21 ans, elle passe l’ensemble de ses vacances en Angleterre au couvent des Filles de la Croix, fondé par sa grand-tante, et se familiarise avec la langue anglaise[1].

Au milieu des années 1960, elle quitte la Bretagne pour Paris où elle s’inscrit en faculté de Langues à la Sorbonne mais retourne dans sa région natale à la suite des événements de mai 68[1]. Durant cette période, elle découvre le théâtre et entreprend de suivre les cours d’art dramatique de Tania Balachova et Andréas Voutsinas[1], cours que suit aussi Josiane Balasko.

En 1976, Dominique Lavanant rejoint la troupe du Splendid pour la pièce de café théâtre Amours, coquillages et crustacés. Parallèlement, elle obtient ses premiers seconds rôles au cinéma dans Calmos, Diabolo menthe et surtout Les Galettes de Pont-Aven aux côtés de Jean-Pierre Marielle.

En 1978, le succès arrive avec Les Bronzés, adaptation de la pièce du Splendid Amours, coquillages et crustacés. L’année suivante, bien que son rôle soit moins important, le couple qu’elle forme avec Maurice Chevit dans Les Bronzés font du ski reste dans les mémoires.

En 1980, elle partage l’affiche avec Coluche dans Inspecteur la Bavure, puis elle retrouve sa camarade Josiane Balasko dans Les Hommes préfèrent les grosses et La Smala.

Où vit Dominique Michel ?

Moi, je ne peux même pas aller faire l’épicerie, parce qu’il paraît que je suis une personne âgée, maintenant… (rires).»

Compagnon de confinement

Habituée de passer ses hivers en Floride, Dominique Michel avait décidé de demeurer au Québec cette année après avoir subi des traitements de médecine nucléaire, l’automne dernier, suite à de petits accidents vasculaires cérébraux (AVC) qu’elle a subis. Elle avait d’ailleurs annoncé aux «Enfants de la télé», en novembre, qu’elle se retirait du milieu de la télévision pour des raisons de santé. Elle s’est félicitée de sa décision de ne pas quitter le Québec quand le gouvernement a décrété le confinement, à la mi-mars.

L’icône du Bye Bye a de la compagnie pour traverser cette période difficile, dans son immeuble près d’Habitat 67: un petit chat nommé Rosie («Elle est noire comme le poêle!», précise Dominique Michel en ricanant) qu’un ami avait trouvé au grand froid l’an dernier et qui avait bien failli mourir gelé. Sa nouvelle propriétaire l’a emmené se faire soigner par Sébastien Kfoury, le vétérinaire animateur des Poilus, et en prend soin depuis. Elle raconte aussi avoir regardé avec beaucoup de plaisir les grands rendez-vous télévisés de la semaine dernière, En direct de l’univers et Une chance qu’on s’a.

«J’ai passé l’hiver à flatter mon chat. Et on fait du ménage, et on répond au téléphone! Je nettoie et j’époussette.

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Où vit Dominique Sanda ?

Elle est née trois ans après la date de naissance que lui donnent communément les fiches biographiques, peut-être parce qu’à 13 ans, ça l’arrangeait d’en avoir 16, et elle ne s’est pas toujours appelée Dominique Sanda. Il y a vingt-cinq ans, elle s’est éclipsée des écrans de cinéma, une disparition radicale qui laisse son pouvoir iconique intact, et qu’elle conteste, tant elle étire le temps comme l’élastique d’une arbalète géante dont elle serait à la fois l’archer et le projectile. Bientôt, elle reviendra, resplendissante, et l’on pressent que les jeunes cinéastes seront prompts à lui donner une place. En attendant, elle vit la majeure partie de son temps en Uruguay et en Argentine, avec son mari philosophe d’origine roumaine, face à l’océan et à la lumière changeante, et ils plantent trois centaines d’arbres sur une dune. «Je les regarde pousser et je prends moi-même racine. C’est dur de s’arracher à la contemplation.»

Elle le répète : «Je n’ai pas disparu, ce sont les autres qui ne sont pas là où je suis.» Ou encore : «Si l’on m’a toujours vieillie, c’est pour pouvoir m’enterrer plus vite.» Elle rit. Sa parole devient légère, sa voix change d’une octave. Dominique Sanda ne finit jamais ses phrases sur le même tempo qu’elle les commence, elle est toujours prête à briser les digues, amoureuse de l’inattendu. Son humour la contient et la préserve, et l’on pressent que lorsqu’il s’absente, les ouragans intérieurs doivent être terribles.

Donc 56 ans. Elle porterait bien une pancarte où serait noté son âge. Et une prestance et une élégance que les années n’ont pas attaquées.

Quel cancer a eu Dominique Michel ?

Avec le temps, on apprend à faire le ménage et à s’aimer un petit peu plus. Si tu reçois une invitation et que l’idée te tombe sur les nerfs, pourquoi aller te faire suer pendant toute une soirée? On a le droit de dire non. En plus, je ne suis pas menteuse, alors je n’essaie plus de trouver des excuses. Si je me retrouve avec des amis et qu’on a parlé de tout ce dont on avait envie, je ne m’éternise pas. Je pars, et je le dis. Je suis comme un livre ouvert. Je ne me soucie plus de ce que les gens pensent ou disent. C’est libérateur.

Alors, on peut dire que vous êtes heureuse? Oui, très! Je fais juste ce que j’aime. Je prends soin de moi, de ma santé. Et comme je l’ai dit, j’ai mes amis, mes occupations, mon chat. Je ne m’ennuie pas. Tu sais, il ne faut pas s’inquiéter pour moi: j’ai encore du fun dans la vie!

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Ensemble, détrônons le cancer du côlon

Ayant elle-même combattu cette maladie, Dominique Michel est ambassadrice de la campagne Ensemble, détrônons le cancer du côlon, aux côtés du chroniqueur sportif Alain Crête et de l’auteur-compositeur-interprète Ludovick Bourgeois, aussi porte-parole depuis le début. La campagne, qui souligne ses cinq ans d’existence, vise à sensibiliser la population au test de dépistage du cancer colorectal, qui est le deuxième cancer à faire le plus de décès au Québec. Le test RSOSi, qui se réalise en deux minutes, peut se faire à la maison, sans douleur, sans contrainte et de façon non intrusive.Pour toute information, on consulte le www.detrononslecancer.ca.

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Quel âge est rendu Dominique Michel ?

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Quel est le vrai nom de Dominique Michel ?

Dominique Michel, de son vrai nom Aimée Sylvestre, est née à Sorel en 1932, mais a grandi dans le quartier montréalais surnommé le Faubourg à m’lasse. Après ses débuts à l’âge de 19 ans dans les cabarets montréalais, elle a gagné en popularité au début des années 1950.

C’est également à cette époque qu’elle a rencontré Denise Filiatrault, avec qui elle allait partager plusieurs scènes et plateaux de télévision dans les décennies suivantes. En 1957, son interprétation d’En veillant sur l’perron, de l’auteure et compositrice Camille Andréa (Nouvelle fenêtre), a valu à Dodo la deuxième place au premier Concours de la chanson canadienne organisé par Radio-Canada.

Elle a ensuite enregistré la ballade dans un studio de New York; un 45 tours qui serait vendu à plus de 100 000 exemplaires.

C’est durant les années 1960 que Dominique Michel devient une grande vedette de la télévision québécoise avec l’émission Moi et l’autre, réalisée par Jean Bissonnette.

Qui est Dominique la fin ?

À la découverte de cette femme, actrice, dont je n’avais pas voulu visionner les films, ne voyant en elle que ma mère, ce qui n’était vraiment pas son meilleur rôle. Ce fut une lente maturation. Trois ans et demi… », ajoute-t-elle au sujet de son ouvrage sur « (elles) deux« . Dominique Laffin a débuté le cinéma en obtenant des petits rôles à l’affiche de deux films; La nuit, tous les chats sont gris réalisé par Gérard Zingg et Dites-lui que je l’aime de Claude Miller. Puis on la découvre aux côtés de Josiane Balasko dans Les petit câlins, de Jean-Marie Poiré. Enfin, en 1979, Jacques Doillon lui offre le rôle principal…

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Quel est l’âge de Clémentine Autain ?

Clémentine Autain, née le 26 mai 1973 à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), est une femme politique et journaliste française. Elle est d’abord adhérente du Parti communiste français (PCF), d’Ensemble ! — l’une des composantes du Front de gauche — puis de la Gauche écosocialiste et de La France insoumise (LFI).

De 2001 à 2008, elle est conseillère de Paris (apparentée PCF) chargée de la jeunesse. De 2014 à 2020, elle est conseillère municipale de la ville de Sevran. Elle devient conseillère régionale d’Île-de-France en 2015, mandat qu’elle occupe jusqu’à son élection en juin 2017 comme députée dans la onzième circonscription de la Seine-Saint-Denis sous l’étiquette LFI. Elle est réélue en 2022.

Elle est également directrice de publication du trimestriel Regards, gérante de la scop qui l’édite de 2010 à 2018, ainsi que cosecrétaire de la fondation Copernic, un cercle de réflexion critique du libéralisme économique.

Clémentine Cécile Autain est la fille du chanteur Yvan Dautin (de son vrai nom Yvan Autain) et de la comédienne Dominique Laffin[2].

Son grand-père maternel André Laffin a été député de l’Yonne (1960-1962) et un cofondateur du Front national pour l’Algérie française[3],[4] aux côtés de Jean-Marie Le Pen.

Un de ses oncles paternels, François Autain, a été maire de Bouguenais (Loire-Atlantique), député, secrétaire d’État chargé de la Sécurité sociale, puis des Immigrés, et enfin de la Défense sous la présidence de François Mitterrand, puis sénateur socialiste de la Loire-Atlantique, ayant rejoint le Parti de gauche en 2008[5].

Clémentine Autain est mère d’une fille et d’un garçon, dont le père est Mikaël Garnier-Lavalley, coauteur du livre Salauds de jeunes ! sorti en 2005[6], conseiller de la ministre des Sports Valérie Fourneyron, nommé en 2014 premier délégué interministériel à la Jeunesse[7]. Divorcée du père de ses enfants, Clémentine Autain déclare en 2022 vivre depuis dix ans dans une famille recomposée, avec un professeur en Seine-Saint-Denis, militant de La France insoumise, père d’un garçon et d’une fille lui aussi, avec qui elle est pacsée[8],[9].

Clémentine Autain passe son enfance et son adolescence à Paris, où elle habite boulevard des Batignolles[10],[11]. À l’âge de 4 ans, elle interprète au cinéma le rôle de Pamela auprès de sa mère Dominique Laffin dans Les Petits Câlins de Jean-Marie Poiré[12], film sorti en 1978. À 10 ans, elle veut être chanteuse, comme son père. Au sein de la comédie musicale Abbacadabra, elle reprend des chansons du groupe ABBA sur les plateaux de télévision en compagnie de Frida, Daniel Balavoine ou Plastic Bertrand[2]. Elle enchaîne disques, concerts et un feuilleton[2] (Le Masque, épisode La Rançon de la gloire[13] dont son père a coécrit le scénario pour FR3[14]). Parallèlement, elle baigne aussi dans la politique grâce aux relations de ses parents avec Jack Ralite et Alain Krivine[15]. Son père est alors un sympathisant de l’extrême gauche[2]. En 1985, alors qu’elle a 12 ans, sa mère, Dominique Laffin, meurt[2],[6].

 

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