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Qui est holda Fonteyn ?

by Marine Lamiaux

Emmanuelle Bach, de son vrai nom Emmanuelle Anouk El Kabbach, est une actrice française née le 31 mai 1968 à Paris. Elle est la fille du journaliste Jean-Pierre Elkabbach et de Holda Trenkle, surnommée Holda Fonteyn.

Quelle est l’origine de Jean-Pierre Elkabbach ?

A la mort de son père, sa mère travaille pour que la famille ne sombre pas dans la pauvreté.

Je suis facilement ému quand je parle de ma mère. Elle a travaillé pour nous sortir de la pauvreté. Je n’ai pas tué mon père, il est mort avant, ce qui explique peut-être mon rapport au pouvoir, à l’autorité.

Trois lieux sont importants pour lui et structurent son enfance en Algérie : la maison avec la terrasse, le théâtre municipal, le cimetière d’Oran.

J’allais tous les jours au cimetière d’Oran, sauf le samedi, avec ma mère. J’ai trouvé toute l’énergie et la volonté de ma vie dans le cimetière d’Oran, auprès des morts. Je connais par cœur le cimetière d’Oran.

Photo de classe. Lycée Lamoriciere d’Oran. Professeur d’histoire Marc Ferro. Photo de classe. Lycée Lamoriciere d’Oran. Professeur d’histoire Marc Ferro. – Collection personnelle Jean-Pierre Elkabbach « Surtout ne pas rester à Oran. C’était l’appel de la France, de l’ailleurs, de l’inconnu »

Jean-Pierre Elkabbach décrit une Algérie hiérarchisée, avec du machisme, de l’antisémitisme, du racisme, de la misogynie.

Quel est l’âge de Elkabbach ?

Jean-Pierre Elkabbach
Image illustrative de l’article Jean-Pierre Elkabbach Jean-Pierre Elkabbach en 2022.
Nom de naissance Haïm Jean-Pierre El Kabbach
Naissance 29 septembre 1937 (85 ans)Oran, Algérie françaiseDrapeau de la France France
Nationalité française
Profession Journaliste
Spécialité Politique, interview
Distinctions honorifiques Légion d’honneur
Médias actuels
Pays France
Média Télévision, radio
Fonction principale Dirigeant puis président de chaîne et de stationConseiller auprès de dirigeants
Historique
Radio France Inter, Europe 1
Télévision ORTF, Première Chaîne, Deuxième chaîne, Antenne 2, La Cinq, France 3, France Télévisions, TF1, Public Sénat, CNews
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Haïm Jean-Pierre El Kabbach, dit Jean-Pierre Elkabbach, est un journaliste, homme de médias et éditorialiste français, né le 29 septembre 1937 à Oran (Algérie).

Journaliste et présentateur d’émissions politiques depuis les années 1960, principalement sur les chaînes de télévision française, il occupe différents postes de direction au sein du groupe Lagardère Media, étant notamment président d’Europe 1 de 2005 à 2008.

De janvier 2018 à l’été 2019, après être devenu conseiller du président de la chaîne d’information en continu CNews, à plus de 80 ans il intervient quotidiennement dans la matinale de la chaîne, pour y réaliser une interview politique d’une dizaine de minutes. Après une interruption pour raisons de santé, il reprend l’antenne sur la chaîne en animant une émission d’interviews chaque dimanche pendant une heure vers la fin d’après-midi.

En août 2021, il effectue son grand retour sur l’antenne d’Europe 1[1].

Haïm Jean-Pierre El Kabbach, dit Jean-Pierre Elkabbach, est né dans une famille juive d’Oran[2],[3], Jean-Pierre Elkabbach est le mari de Nicole Avril. Il a un frère et une sœur plus jeunes que lui. Son père, Charles Elkabbach, négociant en import-export, est passionné de football et sera notamment vice-président de l’Olympique de Marseille[4], sa mère, Anne Sadok[5], est femme au foyer.

Son enfance est marquée par la mort de son père le 3 octobre 1949, lors du Yom Kippour alors qu’il lisait une prière à la grande synagogue d’Oran. Depuis, il est devenu « juif laïc[6] » et lui a fait la promesse de rendre son nom célèbre.

Après des études au lycée Lamoricière d’Oran, où il devient lauréat Zellidja, il décroche son baccalauréat et part à Paris faire des études à l’Institut français de presse. Il étudie également à la faculté des lettres de l’université de Paris, et valide une première année d’études à l’Institut d’études politiques de Paris[7] en 1959[8].

Qui est la compagne de Elkabbach ?

Après une interruption pour raisons de santé, il reprend l’antenne sur la chaîne en animant une émission d’interviews chaque dimanche pendant une heure vers la fin d’après-midi.

En août 2021, il effectue son grand retour sur l’antenne d’Europe 1[1].

Haïm Jean-Pierre El Kabbach, dit Jean-Pierre Elkabbach, est né dans une famille juive d’Oran[2],[3], Jean-Pierre Elkabbach est le mari de Nicole Avril. Il a un frère et une sœur plus jeunes que lui. Son père, Charles Elkabbach, négociant en import-export, est passionné de football et sera notamment vice-président de l’Olympique de Marseille[4], sa mère, Anne Sadok[5], est femme au foyer.

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Son enfance est marquée par la mort de son père le 3 octobre 1949, lors du Yom Kippour alors qu’il lisait une prière à la grande synagogue d’Oran. Depuis, il est devenu « juif laïc[6] » et lui a fait la promesse de rendre son nom célèbre.

Après des études au lycée Lamoricière d’Oran, où il devient lauréat Zellidja, il décroche son baccalauréat et part à Paris faire des études à l’Institut français de presse. Il étudie également à la faculté des lettres de l’université de Paris, et valide une première année d’études à l’Institut d’études politiques de Paris[7] en 1959[8].

Parallèlement, il suit des cours de théâtre, une passion acquise depuis son appartement à Oran, où il entendait de son balcon chanteurs et comédiens répéter dans le théâtre d’Oran[9]. Au cours de ses vacances de l’été 1960 en Algérie, il entre à Radio Alger et, devant sa motivation, le rédacteur en chef le prend en stage. Journaliste à Oran, Alger et Constantine, il est arrêté, lors du putsch des généraux en 1961, par les militaires putschistes qui lui reprochent d’être un pied-noir traître à l’Algérie française[10]. Il est alors nommé à Paris, où il travaille à l’Office de radiodiffusion télévision française jusqu’en 1968, quand, pour avoir fait grève, il est « mis au placard » et muté à Toulouse, puis envoyé comme correspondant à Bonn[11].

Jean-Pierre Elkabbach en 1991.

En 1970, il devient présentateur du journal télévisé de la première chaîne. En 1972, il rejoint la deuxième chaîne pour y occuper la même fonction jusqu’en 1974, tout en animant le magazine Actuel 2. En 1974, il présente la tranche d’information de midi de France Inter, puis il est successivement, à partir de 1975, rédacteur en chef de France Inter, rédacteur en chef à la direction de l’information de Radio France et directeur de l’information d’Antenne 2 en 1977. En particulier, il commente le couronnement de Jean-Bedel Bokassa, empereur de Centrafrique en décembre 1977. En octobre 1979, il écarte Claude Sérillon de la présentation de la revue de presse de la chaîne, ce dernier y ayant traité de l’affaire des diamants de Bokassa[12]. De 1977 à 1981, il anime différentes émissions, dont Cartes sur table, avec Alain Duhamel.

Qui est Emmanuel bac ?

Emmanuelle Bach, de son vrai nom Emmanuelle Anouk El Kabbach, est une actrice française née le 31 mai 1968 à Paris. Elle est la fille du journaliste Jean-Pierre Elkabbach et de Holda Trenkle, surnommée Holda Fonteyn. Passionnée par le cinéma, elle abandonne ses études d’histoire à la fac pour se consacrer à l’art dramatique. Elle intègre les cours du metteur en scène et professeur Jean-Laurent Cochet.

La jeune femme fait ses débuts devant la caméra dans les années 1990. Elle enchaîne les petits rôles au cinéma dans Les clés du paradis (1991) de Philippe Broca, Petits arrangements avec les morts (1994), et Un dimanche à Paris (1994). En 1999, elle obtient le rôle du capitaine Agathe Monnier dans la série policière de France 2 PJ, et tient ce rôle jusqu’en 2007. À partir de 2008, elle interprète le rôle de Jeannine Schwartz dans Un village français et ce jusqu’en 2017. Elle campe également le personnage de Vic dans la série Clem à partir de 2013.

Qui est le mari de Nicole Avril ?

Nicole Avril est née à Rambouillet le 15 août 1939. Elle fait ses études primaires, secondaires et supérieures à Lyon et obtient une licence de lettres modernes et le Capes. Elle devient professeur de lettres dans le Nord, puis comédienne et mannequin à Paris. En 1972, elle publie L’Été de la Saint-Valentin et Les Gens de Misar , qui obtient le prix des Quatre Jurys. Elle est l’auteure d’un film de télévision, dont elle tire un roman : Les Remparts d’Adrien (1975). Elle poursuit également son œuvre romanesque, notamment avec un récit autobiographique, Dans les jardins de mon père (1989). Viennent ensuite Il y a longtemps que je t’aime (1991), L’Impératrice (1993), Une Personne déplacée (1996), Le Roman du visage (2000), Moi, Dora Maar (2002), Le Regard de la grenouille (2003) et Dictionnaire de la passion amoureuse (2007). Elle est aussi l’auteure, en collaboration avec son mari le journaliste Jean-Pierre Elkabbach, d’un essai publié en 1982 : Taisez-vous Elkabbach .

Quel est l’âge de Pierre Lescure ?

Pierre Lescure, né le 2 juillet 1945 à Paris, est un journaliste, homme de radio, de télévision et de cinéma et homme d’affaires français.

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Au cours de sa carrière qui le voit débuter à la radio, il occupera de nombreux postes de direction, présentera des journaux télévisés et créera de multiples émissions. En 1984, il fonde Canal+ avec André Rousselet, son PDG, et lui succède de 1994 à 2002.

Il est président du Festival de Cannes de 2014 à 2022.

Pierre Lescure est le petit-fils de Pierre de Lescure, cofondateur avec Vercors des Éditions de Minuit.

Né le 2 juillet 1945 à Paris et élevé à Choisy-le-Roi, Pierre Lescure[1] s’oriente dans la voie de son père, François Lescure, journaliste à L’Humanité, et de sa mère, Paulette Baudoin, également journaliste dans l’organe féminin de la CGT, en intégrant le Centre de formation des journalistes (CFJ) — diplômé de la promotion 1965[2].

Son trisaïeul, Jules Lescure, est originaire du Lot et fut inspecteur des chemins de fer en Algérie française. Fils de Vincent Lescure et de Catherine Molin de Teyssieu, Jules Lescure adopte la particule et se fait appeler Jules de Lescure, mais devenant républicain et un opposant à la monarchie, depuis les Journées de Juin de 1848, il reprendra son nom de naissance et abandonnera cette particule[3] qu’adoptera à son tour le grand-père de Pierre Lescure, le romancier et éditeur Pierre de Lescure (né Pierre Lescure, 1891-1963), petit-fils de Jules (de) Lescure.

Totémisé « Kamichi malicieux », Pierre Lescure pratique le scoutisme chez les Éclaireurs de France à Choisy-le-Roi entre 1955 et 1962 dans la patrouille du Loup[4].

De 1965 à 1968, il travaille comme reporter et présentateur pour la radio RTL, puis il est responsable de plusieurs émissions pour RMC de 1968 à 1972[5].

Il débute à la télévision de 1972 à 1974 sur la deuxième chaîne de l’ORTF, où il présente le journal télévisé de la nuit de 1972 à 1973, puis le 20 heures de 1973 à 1974.

En 1974, il est rédacteur en chef-adjoint d’Europe 1, puis directeur des programmes de RMC en 1979.

En 1979 il a présenté Ça Balance et en 1983 Dimanche Magazine sur Antenne 2.

Le 7 janvier 1982, il crée sur Antenne 2 l’émission Les Enfants du rock, puis est nommé directeur de la rédaction de la chaîne.

En 1983, Pierre Lescure rejoint André Rousselet pour préparer le lancement en 1984 de la nouvelle chaîne payante Canal+. Il en devient ensuite directeur, puis directeur général en 1986, et enfin président directeur général du groupe Canal+ en 1994 malgré la montée en puissance de la Générale des Eaux dans la chaîne et l’éviction d’André Rousselet. En 1991, il devient également président de la S.A.O.S (Société Anonyme à Objet Sportif) du Paris Saint-Germain à la suite de son rachat par Canal+[5].

Qui est le père de Xavier Lescure ?

À la fin de sa carrière, il couvre les affaires européennes[7].

Il est le père du journaliste Pierre Lescure (né en 1945), de l’économiste et homme politique Roland Lescure et de l’auteur, photographe, réalisateur, compositeur Jean-François Lescure dit « Jef Kerneis ».

Mort dans la nuit du 12 au 13 avril 1992 à Paris 20e[2],[8], il est crématisé au cimetière du Père-Lachaise[9].

  1. ↑ « Acte de naissance no 678 (vue 31/31) de François Marie Dominique Lescure du registre des naissances de l’année 1920 du 16e arrondissement de Paris », sur archives.paris.fr (consulté le 25 février 2022).
  2. ↑ a b c d e et f Alexandre Courban, « Lescure François, Marie, Dominique – Maitron », sur maitron.fr (consulté le 25 février 2022).
  3. ↑ « François Lescure est décédé dans la nuit de dimanche à lundi d’une hémorragie cérébrale », sur L’Humanité, 14 avril 1992 (consulté le 28 avril 2023).
  4. ↑ Alain Monchablon, « La manifestation à l’Étoile du 11 novembre 1940. Histoire et mémoires », Vingtième Siècle,‎ février 2011, p. 67-81 (lire en ligne).
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Qui est Monsieur Lescure ?

Le 4 juillet 2022, il est nommé ministre délégué chargé de l’Industrie, auprès de Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances, et de la Souveraineté industrielle et numérique, dans le gouvernement Borne[33].

Le 20 septembre 2022, Roland Lescure est auditionné par la commission des Affaires économiques de l’Assemblée nationale pour présenter sa feuille de route de ministre de l’Industrie. À cette occasion, il détaille les trois axes prioritaires de sa politique : la transition verte de l’industrie par la décarbonation, la souveraineté industrielle par la relocalisation dans les territoires, l’attractivité des métiers de l’industrie pour faire face à de fortes tensions sur le recrutement[34]. C’est dans ce cadre qu’il se voit confier, en novembre, la charge de piloter la décarbonation des cinquante sites industriels les plus émetteurs de France[35].

La crise des prix de l’énergie qui intervient à la fin de l’été 2022, à la suite de la guerre en Ukraine, contraint plusieurs sites industriels d’envergure particulièrement énergivores à cesser, au moins temporairement, leurs activités[36]. Roland Lescure entame alors une mission de soutien de l’État aux entreprises que la situation met en difficulté, dans le but qu’aucune industrie ne devienne « la victime collatérale de la guerre en Ukraine[37] ». Il se rend ainsi chez les verriers Arc et Duralex ou Aluminium Dunkerque, pour lequel il débloque par exemple un prêt exceptionnel de l’État de 15 millions d’euros[38].

Par la suite, il continue à intervenir dans des dossiers de sauvetage d’entreprises industrielles menacées de fermeture. Les cas les plus emblématiques concernent celui des 450 emplois de Carelide, une entreprise pharmaceutique à Mouvaux dans le Nord, reprise par la groupe Aguettant grâce à l’apport d’une aide d’État de 25 millions d’euros[39] ; ou celui de l’usine Buitoni de Caudry, également dans le Nord, dont Nestlé avait annoncé suspendre l’activité, avant de finalement s’engager à trouver un repreneur[40],[41].

Roland Lescure est marié depuis les années 1990 avec une Irlandaise rencontrée lors d’un stage à la Commission européenne et est père de trois enfants. Sa famille habite au Canada[10].

  • Roland Lescure et Yannick L’Horty, « Le chômage d’inadéquation en France : une évaluation », Économie & Prévision, vol. 113, no 2,‎ 1994, p. 139-154 (lire en ligne, consulté le 29 juin 2017)
  • Roland Lescure, Antoine Nogier et Laure Tourjansky-Cabart, « Une évaluation économique de la pollution atmosphérique », Économique et Statistique, vol. 307, no 1,‎ 1997, p. 3-20 (lire en ligne, consulté le 29 juin 2017)
  1. ↑ a b c d e f g h et i Delphine Cuny, « Roland Lescure, ex-ponte d’un fonds de pension, candidat En Marche ! en Amérique du Nord », sur latribune.fr, 11 mai 2017 (consulté le 13 mars 2023).
  2. ↑ « Polytechnique.org :: Annuaire », sur www.polytechnique.org (consulté le 27 juin 2017).

Qui est Jean Pierre Lescure ?

Jean-Pierre LESCURE – Vice-président de Association des Cadres Retraités de l’Industrie Sucrière – ACRIS – A.C.R.I.S. – Association des Cadres Retraités de l’Industrie Sucrière | LinkedIn.

Quelle est l’origine de Léa Salamé ?

Léa Salamé est une journaliste née le 27 octobre 1979 à Beyrouth ( Liban). Elle débute sur France 24 (de 2006 à 2010), puis sur iTélé jusqu’en 2014.

En 2014 : Léa Salamé rejoint France Inter, où elle présente jusqu’en 2023 l’interview de 7h50 dans la matinale, qu’elle co-anime avec Nicolas Demorand depuis 2017.Au printemps 2019, et alors que son compagnon Raphaël Glucksmann est candidat, elle se retire de l’antenne le temps de la campagne des élections européennes.

La même année, elle propose l’émission estivale Femmes puissantes sur France Inter. D’autres épisodes de ce podcast seront diffusés en fin d’année 2019 et 2020, puis l’été suivant. Cette série donne lieu à deux ouvrages, Femmes Puissantes, volume 1 et volume 2, publiés aux éditions Les Arènes/France Inter.

Septembre 2023 : en plus du « Grand entretien » de la matinale, qui devient un 7/10, elle propose un magazine culturel à 9h20.

A la télévision, elle est chroniqueuse de 2014 à 2016 dans l’émission On n’est pas couché de Laurent Ruquier (France 2). En 2016, elle présente avec David Pujadas L’Emission Politique toujours sur France 2.

 

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